Soirée chez Alban: je deviens Alexandra
Datte: 27/04/2019,
Catégories:
hh,
hhh,
couleurs,
grossexe,
hépilé,
piscine,
Oral
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
Auteur: Bantou, Source: Revebebe
... garçon discipliné !
— Alors, Alexandra ! Bernard a mis bien du temps pour te réveiller.
Que va t-il penser là !
— À l’eau ! fait-il en m’empoignant par la taille et en nous projetant dans la piscine.
Sitôt à l’eau, il me bloque contre le rebord de la piscine, prend mes lèvres, ma langue, et me roule une pelle d’enfer.
— Alors, ma petite enculée de femelle blanche, tu as aimé cette nuit ? me susurre-t-il à l’oreille.
— Oh oui, je me suis fait baiser comme une reine. Tu m’as encore fait jouir du cul, mon Alban ; tu es le premier à me faire jouir avec cette puissance. Ta bite fait des miracles !
Il m’attrape par les hanches, et d’un coup me soulève et me pose assis sur le rebord de la piscine. Ma bite à hauteur de ses lèvres, la suite ne se fait pas attendre : il engloutit mon membre déjà fier et raide. Il me pompe le gland avec énergie et m’engloutit entièrement : son nez est plaqué sur mon pubis, sa langue me titille les couilles. Quel bonheur !
Je ne résiste pas et lui décharge dans la bouche en criant.
Cela fait longtemps que je ne me suis pas vidé les couilles ; je lui en donne une bonne dose. Il apprécie. Il me refait descendre à l’eau et happe au passage ma bouche pour un baiser « fouillu » où il me réinjecte mon sperme par le haut.
— Ton sperme est bon, Alex. Ta jouissance est agréable à contempler, mais je préfère te faire jouir du cul. Tu fais plus femelle !
Nous prenons notre petit déjeuner. Alban me dit :
— Je vais être absent la ...
... semaine complète. Je pars en mer.
Cette nouvelle m’attriste. Il le voit.
— Cela me déplaît aussi de partir, mais c’est le job ! Je demanderai à Jean-Gab de passer te voir et te distraire un peu pour te faire passer le temps. Je prépare quelque chose pour le week-end prochain.
Je suis ravi de cette nouvelle ; j’espère que ce week-end prochain sera aussi chaud que celui-ci.
Il est maintenant près de onze heures, ce dimanche matin.
— J’ai à faire, Alexandra ; Bernard te raccompagnera chez toi.
Il se penche sur moi, m’embrasse une dernière fois et s’en va. Je récupère mes habits que Bernard me tend. J’enfile ma petite culotte (Bernard est toujours là à me reluquer : je prends mon temps pour l’allumer un max). Il est habillé, cette fois ; son short est déformé sur le devant. Je ne me demande pas pourquoi.
En voiture sur le chemin de ma case, Bernard me dit :
— Il te plaît, mon patron ?
— Oui, beaucoup.
— Il baise bien aussi, à t’entendre t’envoyer en l’air.
— Oui. Et toi, tu l’aimes bien aussi, ton patron ?
— Ce n’est pas pareil : c’est mon Maître.
— Comment ça, ton Maître ?
— J’ai été éduqué par Maîtresse Zoé pour lui. Je suis maintenant son homme à tout faire.
— À vraiment tout faire ?
— Il est mon Maître, et c’est un plaisir pour moi de lui obéir.
— Je suis admiratif, Bernard.
— Merci, Alex.
Nous arrivons à ma case ; il est à peine midi : je vais avoir le temps de récupérer pour reprendre le travail demain. Vivement le week-end prochain ...