1. Soirée chez Alban: je deviens Alexandra


    Datte: 27/04/2019, Catégories: hh, hhh, couleurs, grossexe, hépilé, piscine, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, Auteur: Bantou, Source: Revebebe

    ... comme une femelle, un trou à bites. Il me le dit d’ailleurs.
    
    Il me lime comme ça pendant près de trente minutes.
    
    Je couine de plus en plus fort. Je halète. Je gémis ; je crie, maintenant. Pour la seconde fois il est en train de me faire jouir du cul. Mon organisme, en phase avec mon enculeur au gros calibre, lâche de plus en plus de mouille pour lubrifier le gros piston qui coulisse dans ma turbine à chocolat.
    
    Il m’emmène vers les sommets du plaisir ; l’orgasme est là : il envahit mon cul, mon ventre, ma tête. Je suis animé de tremblements, de soubresauts. Tout mon être est sous la domination du plaisir qui me submerge sans que rien ni personne ne puisse l’arrêter. Je tombe dans les pommes, rassasié de cette douce violence.
    
    Alban, qui n’a pas joui, me secoue et me met sur le dos en travers du lit, la tête basculée en arrière en dehors du lit. Il fait le tour et me présente sa queue à sucer ; que dis-je : à avaler. Il rentre profond dans ma gorge puis se retire, puis revient souvent, en accélérant la cadence. Il est en train de me baiser la bouche, il se branle dans ma gorge. Je suffoque, je pleure, la bave dégouline. Il me pistonne sans prendre garde à mes souffrances et se vide de cinq grosses giclées de foutre qui viennent me poignarder la luette et au delà. Il vient de me posséder par mon deuxième trou.
    
    Il me quitte ; je me remets en place sur le lit et m’écroule de sommeil, la bouche pleine de son foutre que je n’ai pas complètement ingurgité, comme pour ...
    ... profiter le plus longtemps possible de son goût, de sa texture et de son odeur.
    
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    Le dimanche matin, Bernard vient me réveiller.
    
    — Debout, Alex, il est neuf heures et monsieur Alban t’attend près de la piscine où le petit déjeuner est servi.
    
    J’ai du mal à reprendre mes esprits et à me localiser. Les évènements de la veille repassent comme un film en accéléré. Alban, sa grosse queue et les deux enculades que je me suis prises.
    
    Je commence à refaire surface pour voir que Bernard est nu : tout nu ! Sans un poil. Sa queue est à demi molle. Je me souviens que je l’ai vu se branler hier soir. Il ne manque pas de se rincer l’œil une fois de plus quand, à quatre pattes, je cherche mes sandales. Conscient de la situation et un peu exhibitionniste, j’écarte un peu les genoux et cambre les reins pour lancer ma main sous le lit.
    
    Je me relève ; de « demi mou » il est passé à « gros dur ».
    
    — Tu es très émotif, Bernard, lui fais-je un peu taquin.
    — Il ne faut pas me faire ça, Alex. Avec un cul ouvert comme le tien et encore tout gluant, j’ai du mal à me maîtriser.
    — Merci pour le compliment. Rassure-toi : je ne dirai rien à ton patron.
    
    Je lui demande mes vêtements.
    
    — Je les ai nettoyés ; ils seront secs et repassés dans quelques minutes.
    — Merci, Bernard. Fais attention de ne pas te brûler, ce serait dommage !
    
    Une douche en vitesse pour ne pas faire attendre Alban. Bernard m’amène des serviettes, toujours au « garde-à-vous ». Voilà un ...