0205 Non, ce n’est pas un rêve.
Datte: 27/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... comme s’il n’osait pas arriver au bout de son propos.
« Dis-moi… » je le presse.
« Si t’avais dit que tu préférais me sucer… j’allais te proposer de nous retrouver chez moi… ».
« T’avais bu… ».
« J’avais bu assez pour ne pas trop réfléchir mais je savais très bien ce que je faisais… ».
« Et on aurait commencé les révisions des mois plus tôt… » je raisonne à haute voix, tout en réalisant le nombre d’occasions manquées de nous retrouver, tout le temps que nous avons perdu.
« Oui, je crois… ».
« Quel gâchis… quand je pense que c’est exactement le fantasme que je me suis payé en rentrant, lorsque je me suis branlé dans mon lit… ».
« Quel fantasme ? ».
« Pendant que je me branlais, je me suis imaginé te dire que je voulais te sucer toi, et que tu m’aurais proposé de te suivre chez toi… ».
Il sourit.
« C’est dommage quand-même… » je considère.
« On s’est bien rattrapés depuis… ».
« C’est clair… ».
« Heureusement que t’as fait le premier pas, sinon on en serait encore à nous tourner autour… » il me lance.
« On se serait même perdus de vue déjà, après le bac… »
« C’es bien possible… »
« C’est l’approche du bac qui m’a poussé à faire ce premier pas… je trouvais horrible l’idée que la fin du lycée arrive, et qu’on parte chacun de notre côté, sans avoir tenté de t’approcher… après t’avoir kiffé comme un malade pendant trois ans… ».
« Moi aussi je trouvais ça dommage… mais je n’aurais pas eu le cran de te proposer de venir chez ...
... moi, comme ça, à jeun, même pour réviser les maths… et Dieu sait que j’en avais besoin… ».
« Si tu savais le nombre de branlettes que je me suis tapé en pensant à toi… ».
« Moi aussi je me suis branlé en pensant à toi… ».
« C’est vrai ? T’en avais pas assez de toutes les meufs que tu te tapais ? ».
« Non… » il fait, sur un ton sans ambiguïté ; puis, après une petite pause, il continue : « tu sais, ton petit cul je l’ai maté souvent, bien plus souvent que tu ne l’imagines… ».
Ses mots m’excitent. Je bande. Je sens que lui aussi il bande, je sens la « bête » se raidir le temps d’un éclair.
« Et tu lui ferais quoi, à mon petit cul, si tu l’avais là, à disposition, tout de suite ? ».
« Pourquoi, il est à ma disposition, là, tout de suite ? » il me cherche, l’air fripon.
« Il se pourrait bien… ».
« Tu veux vraiment savoir ? » fait-il, une étincelle très coquine dans le regard.
« Je crois bien, oui… ».
« Alors tu vas savoir… ».
Et ce disant, le bogoss me fait basculer ; je me retrouve allongé sur le ventre, son corps allongé sur le mien, son manche raide calé entre mes fesses.
« Tu la veux, hein ? ».
« Oh, que oui, je la veux… je te veux… ».
Ses mains empoignent mes fesses, les écartent, mettent mon petit trou en tension, le préparent à se faire envahir ; je sens tout le poids et la chaleur de son corps sur mes jambes, mes cuisses, mes fesses, mon dos ; son gland met mon trou en joue, sa queue glisse en moi, lentement ; le mouvement est ...