1. Un déjeuner perturbant


    Datte: 27/04/2019, Catégories: ffh, fplusag, jeunes, Collègues / Travail caférestau, BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation nopéné, portrait, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... Cette fameuse journée serait obligatoire une fois par semaine. La productivité s’en trouverait grandement améliorée car, à son avis, les femmes, se sentant désirées, travailleraient avec le sourire. Quant aux hommes, découvrir la marque d’une jarretelle sous une jupe serrée les ferait arriver plus tôt et partir plus tard. Malheureusement, la loi française est tellement restrictive qu’il est impossible de mettre en place un tel article dans la section "comportement" du règlement intérieur.
    
    Nicole est effarée… Comment un directeur de société, au comportement impeccable envers son personnel, peut avoir une idée tellement… perverse ?
    
    — Mais… c’est épouvantable ! Le lieu de travail ne peut pas être un endroit où les femmes devraient être vêtues comme des… comme des…
    
    Eléanore éclate de rire :
    
    — Voyons, Nicole, être en bas et porte-jarretelles ne signifie pas être une pute. C’est très chic ; et puis, aujourd’hui, ce genre de dessous est à la mode. Vous n’en portez jamais ?
    
    Nicole réplique en rougissant :
    
    — Oh non, voyons ! Je ne suis pas une…
    — Une salope ?
    — Non, bien sûr, je ne suis pas ce genre de femme, c’est une tenue de p… Enfin, je veux dire, pour… mettre un homme dans son lit !
    — Vous n’aimez pas les hommes ?
    — …
    
    Nicole se replonge en silence dans son assiette, arrachant une patte de langoustine, la brisant pour en extraire la chair délicate. La tenant délicatement entre deux doigts, elle la porte à sa bouche et la suce. Levant les yeux, elle voit ...
    ... Eléanore la fixer d’un regard brillant. Se rendant compte que son geste peut paraître obscène, elle rougit encore, mal à l’aise, se dandinant sur son siège.« Mon Dieu, cette conversation est inconvenante… »
    
    — Vous n’aimez pas les hommes ? Peut-être préférez-vous les femmes ? insiste Eléanore.
    
    Tentant de reprendre son self-control, Nicole réplique un peu sèchement :
    
    — Quand un homme me parle, je veux qu’il me regarde dans les yeux, et non pas qu’il ait le regard rivé sur mes jambes ou mes seins.
    — Vous êtes toujours en pantalon large, avec un pull ou un chemisier qui flotte sur votre torse. Et des chaussures à petits talons. Vous avez pourtant un joli visage, ce collier de perles vous va bien, vos ongles sont peints, vos seins sont semble-t-il plutôt gros…
    
    Quelques secondes de silence, pendant lesquelles Nicole regarde son assiette, puis Eléanore reprend :
    
    — Vous devriez être fière de votre corps, le valoriser en portant des vêtements plus appropriés, comme par exemple… des escarpins aux talons de huit centimètres pour commencer, une jupe moulante, comme moi…
    — Mais… Eléanore, voyons… Pour être respectée, je me dois d’avoir une allure très professionnelle. Je veux que l’on regarde mon visage au lieu de ma poitrine ou mes… fesses.
    — Nicole, ne suis-je pas, moi-même, professionnelle ? Vous n’êtes pas satisfaite de mon travail ?
    — Si, bien sûr : vous êtes très efficace pour une stagiaire.
    — Merci… Nicole, vous pourriez être plus féminine : être vêtue comme une ...