1. Un déjeuner perturbant


    Datte: 27/04/2019, Catégories: ffh, fplusag, jeunes, Collègues / Travail caférestau, BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation nopéné, portrait, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... l’endroit où reposaient ses hanches. Elle se souvient d’un rêve érotique qu’elle vient d’avoir, un rêve dans lequel un évènement obscène se produisait… Pour chasser ce souvenir dont elle a un peu honte, elle se lève pour changer de culotte et étendre une serviette éponge propre sur son drap.
    
    Le lendemain, en milieu de matinée, Nicole veut en avoir le cœur net. Saisissant son combiné, elle appelle la jeune stagiaire :
    
    — Eléanore, j’aimerais déjeuner avec vous. Êtes-vous disponible ce midi ?
    — Bien sûr, Madame Pavin, avec plaisir. Nous nous retrouvons à la cafétéria à 12 h 30 ?
    — Non, allons déjeuner dehors dans un petit restaurant ; je vous invite.
    — C’est sympa de votre part ! Merci, Madame.
    — Appelez-moi Nicole, vous voulez bien ?
    — D’accord Mada… euh, Nicole.
    — À tout à l’heure. Rendez-vous dans mon bureau : nous partirons ensemble.
    
    Une heure plus tard, les deux femmes sont assises dans une brasserie, à une table au fond de la salle joliment décorée.
    
    — Oh, il y a des langoustines fraîches à la carte : j’adore. Et si nous en commandions ?
    — D’accord, réplique Nicole, excellente idée : moi aussi je les aime beaucoup.
    
    La commande prise, Eléanore demande :
    
    — Pourrais-je prendre un apéritif, s’il vous plaît ?
    — Si cela vous fait plaisir, oui bien sûr, mais nous allons être pompettes !
    — Nous allons être… Alors vous aussi vous en prenez un pour m’accompagner ?
    — Euh… eh bien… oui, pourquoi pas ?
    
    Nicole commande deux kirs royaux. Après deux ou ...
    ... trois gorgées avalées, Nicole décide d’attaquer Eléanore sur le sujet qui la préoccupe.
    
    — Eléanore, hier après-midi, quand vous étiez avec monsieur Picard, je vous ai entendue crier…
    — Oh… Vous m’avez entendue, dit la jeune femme en rougissant. Je me doutais bien que c’était dangereux.
    — « Dangereux !? » Mais qu’est-ce qui était dangereux ?
    — Eh bien…
    
    Eléanore saisit sa flûte et avale une gorgée. Puis en baissant les yeux :
    
    — Vous me promettez de ne rien dire ?
    — …
    — Il… il m’a donné la fessée !
    — Quoi ? Il vous a donné la fessée ? Mais… c’est horrible, il faut porter plainte !
    — Surtout pas, réplique Eléanore. Je l’avais bien cherché ; et puis c’était… bon !
    — Comment… « bon » ?
    — Il ne m’a pas vraiment fait mal, et puis il a ensuite été très doux, si vous voyez ce que je veux dire… Il m’a couchée sur ses cuisses, relevé ma jupe, descendu mon collant à mi-cuisses, et il m’a…
    
    Nicole cambre les reins, les yeux au ciel.« Mon Dieu, elle a reçu une fessée par mon boss, dans son bureau, et elle a aimé ça ! Elle est complètement folle ! » Elle se rue sur sa flûte et l’avale d’un seul trait.
    
    On leur apporte un grand plat de langoustines grillées à la plancha.
    
    Eléanore, se rendant compte du trouble de Nicole – et contente de son petit effet – décide d’en rajouter :
    
    — Il faut que je vous dise, le boss, il a une idée géniale dont il m’a fait part : il pense qu’instituer un "Porte-jarretelles day" pour les femmes serait une très bonne chose pour l’entreprise. ...
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