Le fabuleux destin de Benjamin (10) - Histoires de Sexe

Le fabuleux destin de Benjamin (10)

... par tes clients ?

— Eh bien, avant de rencontrer Benji, j’étais une femme fidèle et plutôt sage, donc je n’avais jamais imaginé pouvoir baiser avec un autre homme que mon mari, même si certains clients sont plutôt mignons et ne me laissaient pas indifférente.

— Je vois ce que tu dis, moi aussi, avant de me faire baiser par Benji, j’étais une femme très prude, et ma sœur aussi, et regarde maintenant on en est.

— Oui, on se prend des queues par tous les trous, et quel pied, dit Chantal

— Oui, si j’avais su, j’aurais ouvert mes cuisses au facteur à chaque fois qu’il m’apportait le courrier.

— Et moi donc avec mes clients.

— Oui, mais à mon avis, les prochains clients vont avoir une surprise.

— C’est encore très récent, la découverte de mon côté salope avec Benji, je n’y avais pas encore pensé, mais maintenant que tu me le dis, tu as raison, mardi, ils vont avoir une petite surprise au salon.

Et Clara qui avait une petite idée derrière la tête lui dit :

— Ça te dérangerait que je vienne aussi ?

— Euh, tu veux couper les cheveux des clients ?

— Ben en fait, ce serait plutôt leur vider les couilles, qui m’intéresserait, dit Clara en riant.

— Oui je vois bien, mmm, ..., je sais, je te présenterais comme ma nouvelle apprentie, et tu pourras leur faire les shampooings, à toi de voir comment tu t’y prends pour leur donner envie de te baiser.

— Oh ça, ce n’est pas le plus dur avec les hommes, dit Clara en rigolant

— Oui, c’est vrai, mais il ...

... faudra éviter de faire ça devant les autres femmes, je ne voudrais pas perdre ma clientèle.

— Ben ça te ferait peut-être une autre clientèle, avec des couilles pleines de sperme, lui dit Clara.

— Oui, effectivement, mais je préfère être discrète dans un premier temps, on verra comment ça évolue ensuite, dit Chantal qui commençait à entrevoir ce que pouvait devenir son salon de coiffure.

— Ok alors mardi, je serais ton assistante-shampooineuse, au pire, si je vois qu’un client a envie de me baiser, je lui donne rendez-vous le soir, pour qu’il vienne me baiser après la fermeture.

— Oui pas bête, on fera comme ça, dans un premier temps.

Mais le salon de coiffure de Chantal devint plus rapidement qu’elle ne l’avait pensé, un véritable repère de salope, et sa clientèle féminine se changea en masculine très rapidement, mais ceci est une autre histoire.

Pour le moment, après s’être mises d’accord sur le rôle de Clara, le prochain mardi, elles rejoignirent toute la petite assemblée dans la piscine où elles purent se faire baiser de nouveau.

Ils passèrent une bonne partie de la nuit à baiser tous ensemble, mais les hommes furent rapidement à bout de force, et les salopes avaient un appétit insatiable, ce fut Lucas qui jeta l’éponge en premier, les couilles complètement vidées par sa mère. Il fut suivi de près par Gilles dont la bouche de Martine venait de lui vider complètement les couilles.

Mais les autres suivirent rapidement, il ne resta bientôt plus que Benji ...