Le fabuleux destin de Benjamin (10) - Histoires de Sexe

Le fabuleux destin de Benjamin (10)

... accepterait de participer à son petit plan pour faire en sorte que le père de Nathalie baise sa fille, comme José faisait avec la sienne.

Il accepta, mais avec deux superbes nymphettes à poil devant lui, il avait une idée derrière la tête, et donc il leur dit en grignotant ce qu’il lui tombait sous la main :

— J’accepte de vous aider dans votre plan incestueux, mais si je dois convaincre le père de Nathalie de la baiser, il faut que je connaisse un peu la marchandise.

Et il glissa une main entre les cuisses de Nathalie, celle-ci ne fut pas du tout choquée, et écarta les cuisses pour lui donner libre accès sa chatte encore poisseuse, et lui répondit en souriant :

— Bien sûr, c’est tout à fait normal, il faut examiner bien en profondeur, pour bien se rendre compte de ce je peux offrir à mon père.

José lui enfonça deux doigts dans la chatte, et de son autre main, alla lui titiller l’anus, qu’il fourra rapidement de deux doigts également.

Nathalie s’offrait avec plaisir au père de Zita, tandis que celle-ci s’était agenouillée devant son père et lui pompait la queue pour le faire rebander, ce qui ne prit pas longtemps avec deux superbes salopes rien que pour lui.

José continua de fouiller le cul et la chatte de Nathalie et alors que les autres participants continuaient à reprendre des forces et à discuter, il dit à ses deux salopes :

— Et si on allait baiser dans la piscine, je n’ai jamais fait ça dans l’eau.

Nathalie regarda la piscine avec un nouvel ...

... intérêt et lui répondit :

— Moi non plus, c’est l’occasion d’essayer.

José fit relever sa fille qui avait réussi à le faire bander bien dure de nouveau, et il emmena ses deux salopes vers la piscine.

Ils étaient à peine dans l’eau que Nathalie prit appui sur le bord de la piscine et laissa José enfoncer sa grosse queue au fond de sa chatte. Zita s’était assise devant sa copine et lui donnait sa chatte à lécher.

Le deuxième round commençait déjà.

Quelques couples les rejoignirent dans l’eau, et la piscine devint rapidement un baisodrome où on entendait les salopes crier de plaisir, heureusement la villa de Michel et Christelle était bien isolée, sinon les voisins auraient entendu jouir toutes ces superbes salopes.

Au buffet, il restait encore Chantal et Clara qui avait fait un peu plus connaissance, et comme leurs orifices avaient été mis à rude épreuve, elles prenaient leur temps pour reprendre les activités lubriques, même si en voyant toutes les autres salopes se faire défoncer dans la piscine, elles sentaient déjà leurs chattes demander leur dû.

Mais elles étaient en pleine discussion, Clara venait d’apprendre le métier de Chantal, et elle se posait pas mal de questions.

— Alors tes clients n’ont jamais essayé de te baiser ?

— Eh bien, j’ai une grosse clientèle féminine, et les quelques hommes restent sages, même si certains ont eu quelques mains baladeuses, mais je les ai remis à leur place.

— Ah bon ? Tu n’as jamais eu envie de te faire sauter ...