1. COLLECTION FOLLE DU CUL. Jeanne la pucelle (1/1)


    Datte: 26/04/2019, Catégories: A dormir debout, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... vite rejoint par ses quatre soudards.
    
    À ce que l’on a vu plus tôt quand ils sont venus me chercher cinq verges ça ne me faisait pas peur et ils m’ont fait vivre l’une de mes meilleurs nuit de ma courte vie.
    
    Courte, je ne le savais pas encore.
    
    Au matin ils m’ont remis mon armure et nous sommes arrivées aux portes d’Orléans assiégé par les troupes françaises.
    
    Je croyais rencontrer Charles VII, mais c’est Jean le Bâtard qui m’accueille.
    
    Là encore plusieurs fakes news.
    
    Il est dit que j’ai viré les putains pour les remplacer par des ecclésiastiques.
    
    C’est faux, la première nuit, c’est dans le lit du Bâtard que j’ai dormi.
    
    Dormi, me connaissant, c’est vite dit.
    
    Il m’a baisé jusqu’à ne plus pouvoir bander renseigné par son capitaine lui expliquant où il m’avait trouvé et comment la nuit dernière ils m’avaient fait jouir.
    
    Je pensais moi aussi dormir lorsqu’un des gardes se trouvant dans la chambre pour protéger le Bâtard m’a demandé de venir le sucer.
    
    Ils étaient six autour du lit.
    
    Ils sont six que j’ai soulagé pendant que le bâtard ronflait.
    
    Là encore, ils m’ont baisé me remplissant de sperme bien chaud.
    
    Au matin Jean émergeant bandait et c’est dans le foutre de ses hommes qu’à son tour il s’est vidé une dernière fois les couilles.
    
    Les putains donc, je l’ai réunie, j’avais tellement fait de B.M.C que j’en connaissais la plupart.
    
    C’est la chatte à l’air que nous sommes arrivées devant messieurs les Anglais.
    
    Un jour un homme a ...
    ... dit.
    
    « Messieurs les Anglais tirez les premiers. »
    
    J'ai simplement dit.
    
    « Faites voir à ces pourris de rosbif que nos chattes n’ont pas peur de leurs petites bites. »
    
    J’avais dû taper juste concernant la taille de leur bite car c’est ainsi que j’ai pris Orléans devenant devant l’histoire la pucelle d’Orléans.
    
    Grâce à cette victoire, je suis partie vers Reims afin de persuader le roi de prendre la couronne de France.
    
    J’étais devenue une icône, à mon plus grand regret, les coups de bite se faisant plus rares.
    
    Jusqu’à son sacre à Reims où j’ai eu le droit à la verge royale en catimini car la reine Marie d’Anjou était très jalouse et veillait sur son mari.
    
    On me connaît, j’ai su déjouer ses plans, mieux même j’ai réussi à l’emmener aux portes de Paris ce qui hélas m’a été fatale.
    
    Hélas à Compiègne étant lâché par les troupes royales, je fus faite prisonnière par les Bourguignons alliés des Anglais et qui tenait Paris.
    
    Ils m’ont vendu à leur allié.
    
    Nous voici arrivés à l’évêque Cauchon et non Cochon et pourtant.
    
    C’est lui qui est chargé de conduire mon procès dont je connais déjà l’issue dès que je le rencontre.
    
    - Si tu veux la vie sauve, viens me sucer, il paraît que tu es une gourmande malgré ton surnom de « la pucelle. »
    
    - Plutôt crever que de vous sucer la bite, j’ai eu quelques amants dans ma jeune vie.
    
    J’ai tué des Bourguignons et de nombreux anglais étant même plusieurs fois blessées.
    
    Mais vous sucer monsieur, c’est au-dessus de mes ...