1. COLLECTION FOLLE DU CUL. Jeanne la pucelle (1/1)


    Datte: 26/04/2019, Catégories: A dormir debout, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... bouche de maître avant qu’il m’enfile sa bite dans la chatte et avant de m’enculer profondément.
    
    Davranches chanta ma gloire à travers tout le pays et ça a dû revenir aux oreilles de Charles VII.
    
    - Laissez passer les envoyés du roi.
    
    Laissez passer les envoyés du roi.
    
    Connaissez-vous Jeanne la pucelle ?
    
    La pucelle d’Orléans, là encore c’est une trouvaille de Lambert dans son texte, Davranches a acheté tout de suite.
    
    - Ça c’est bon disait-il !
    
    Pucelle, comme je l’ai dit, j’étais une catin, présentement quand ces gardes de Charles VII se sont présentés j’étais dans l’incapacité de les entendre.
    
    - La Jeanne, elle est sous ce tas de mecs là-bas dans le foin.
    
    Si je vois bien elle s’en prend deux dans la chatte et une dans le fion.
    
    Quelle salope cette Jeanne.
    
    En plus elle en a un dans la bouche et masturbe le dernier.
    
    - Soudard, écartez-vous, le roi veut voir cette dame dont les ménestrels chantent les louanges.
    
    Partir de son petit village de Domrémy pour venir tuer deux soldats anglais, ce fait d’armes mérite récompense.
    
    À la vitesse où mes trous se sont trouvés libérés, j’ai bien senti qu’un fait insolite se produisait.
    
    C’était la première fois que mes trous et ma bouche ajoutée celui que je masturbais ne se sont pas retrouvés remplis du sperme qui était mon principal aliment depuis que Michel, paix à son âme, m’ait dépucelé.
    
    - Vous êtes Jeanne la pucelle ?
    
    - Après ce que vous venez de voir capitaine, je n’irais pas ...
    ... jusque-là.
    
    Mais si ça vous plait de croire que je le suis oui, je suis Jeanne la pucelle.
    
    - Messieurs, mettez-lui l’armure qui la protégera des flèches anglaises et mettez là sur ce cheval blanc que le roi offre à celle qui a déjà tué deux Anglais en même temps.
    
    Voilà comment dans les livres d’histoire de votre époque, on me dessine sur un cheval blanc une lance à la main.
    
    Ce sont les tapisseries de l’époque me représentant en chef de guerre qui ont concrétisé ma légende.
    
    En réalité à part ma cotte de mailles rien n’est vrai, j’ai chevauché entourer des gardes sans aucune lance ou étendard.
    
    Tout le long du chemin m’amenant aux portes d’Orléans, j’entendais les quolibets des hommes de troupe marchant que nous croisions.
    
    - Dit Jeanne, te voilà bien harnachée, ta chatte ne s’échauffe-t-elle pas trop sur la selle de ton canasson ?
    
    - Jeanne on te préfère les jambes écartées aux bouts de nos queues plutôt que te donnant du plaisir sur ton cheval blanc.
    
    Bref des jaloux que j’avais certainement déjà rencontrés mais dont j’étais incapable de dire quand et où.
    
    Il est vrai que les tressautements de mon cheval m’échauffaient et que les quatre gardes plus le capitaine, j’en aurais bien fait mon quatre-heures.
    
    C’est la nuit à la belle étoile nous étant arrêté près d’un ruisseau qu’ils m’ont libéré de mon carcan de ferraille.
    
    J’étais nue au-dessous et je me suis baignée dans l’onde clair.
    
    C’est le capitaine le premier qui s’est mis aussi dans le plus simple appareil ...