PHILIPPE EP 18 : LE QUARTIER DES EMPLOYÉS
Datte: 26/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... d'aimer ça toi ! Tu es une vrai petite salope, à te voir on n'y croirait pas …
Il me prenait fermement par les hanches, en râlant il me donnait des coups particulièrement violent et finissait pas jouir dans mon cul. Il me retenait alors encore un long moment bien serré contre lui, me lâchait et se laissait retomber sur moi. Il bandait encore, sa queue était encore dans mon cul et il m'arrachait encore quelques gémissements. Puis je ne disais plus rien.
Il était plus lourd que moi, il m'écrasait mais c'était pas le pire, il reprenait son souffle puis au bout d'un long moment se relevait, se retirait puis se dirigeait vers le coin douche …
Joey : Bon va falloir rentrer dormir ! C'était bon mais la nuit avance, ça fait du bien de se vider les couilles … Tu m'excuse si je te chasse un peu mais demain je suis en week-end, j'ai qu'une journée et je n'ai pas de temps à perdre. Tu repasses quand tu veux, enfin un soir ou je suis libre.
Je me retrouvais sur le seuil de la porte, à poil avec mes vêtements sous le bras, j'avais mal au cul, j'avais mal au bras et j'avais mal à la mâchoire. Avec une démarche en canard je me dirigeais vers la capsule de Pierre Henri. Elle était restée ouverte mais il n'était pas encore de retour, je m'installais et rapidement je m'endormais.
Le lendemain matin, ça allait mieux. J'avais encore un peu mal au cul mais ça allait. J'étais réveillé par une voix connue qui me gueulait dessus.
Alex : Philippe mais bon dieu qu'est ce que tu fous ...
... ici ? On te cherche partout depuis ce matin ! J'ai été obligé de faire appel à la sécurité.
Je sortais de la capsule, à poil, l'air hagard. Je me grattais la tête.
Moi : Bon ça va j'ai découché, enfin Alex arrête de m'engueuler j'ai rien fait de mal … ( je me grattais le cul ) … Enfin presque …
Alex : C'est pas ça, je ne sais pas ce que tu as fais et je m'en moque mais … Ton père est dans le train il sera là dans quelques heures !
Moi : Qué ?
Alex : Mais tu es bourré ou quoi ? Ton père Monsieur Brosso Antoine sera là dans quelques heures et tu as intérêt à te remuer le cul si tu ne veux pas avoir des ennuis !
Joey était sorti également de sa capsule et je voyais dans ses yeux comme un éclair de panique quand il entendait ces mots. Il commençait à comprendre qui j'étais, j'enfilais mon short et suivais Alex avec le reste de mes vêtements sous le bras.
Il était venu avec une vedette rapide, c'était pas le moment de traîner, mon père descendrait du train pour prendre un hélicoptère et serait rapidement à la maison. On prenait par la côte Ouest, on arrivait en bas de la falaise, en contrebas de notre terrasse qui était invisible de la mer. A cet endroit il y avait des petite cryptes et une entrée ascenseur … On arrivait sur notre terrasse quelques instants plus tard, au moment ou l'hélicoptère de mon père se posait. Juste le temps de passer des vêtements de sport, de les arroser d'eau pour laisser croire que je m'entraînais depuis un moment, et je retrouvais ...