1. PHILIPPE EP 18 : LE QUARTIER DES EMPLOYÉS


    Datte: 26/04/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... repoussait contre le mur, me coinçait dans un angle et me baisait la bouche là encore sans ménagement. Il s'amusait avec moi pendant un long moment, par moment je suffoquais, il faisait alors une pose me laissais respirer puis reprenais.
    
    Je trouvais qu'il abusait le gars et j'avais envie de m'en aller mais il me retenait avec force. Il s'amusait, il faisait durer le plaisir, j'avais du mal à encaisser, je voulais me dégager mais je ne parvenais pas bouger, il me bloquait contre l'angle du mur.
    
    C'est un long moment plus tard qu'il m'ordonnait de retirer mes vêtements.
    
    Joey : Mais tu ne portes pas de dispositif toi. Et moi qui pensais que tu était en manque, tu peux te branler quand tu veux, te soulager, te faire plaisir …
    
    Il me tirait alors vers lui, me jetais sur le lit, tirait mon pantalon sur mes pieds …
    
    Joey : Mais c'est pas grave, ma queue vient de passer deux semaines dans cette cage, tu as voulu me libérer, tu vas en payer le prix !
    
    Disant cela il me lubrifiait abondamment le cul et sans prévenir m'enfonçait la queue dans le cul. Je voulais gueuler, il posait sa main sur ma bouche et sans aucun préliminaires me limait le cul avec force. Il se retirait complètement puis revenait à fond. Ses mouvements étaient rapide et violents. Il me faisait vraiment mal, je voulais me dégager mais je ne sais pas si c'est parce qu’il était bien plus fort que moi ou si c'était les effets de l'alcool mais je ne pouvais pas bouger.
    
    Il me tenait fermement contre le ...
    ... lit, les bras dans le dos. Il était bien plus fort que moi, je ne pouvais pas bouger. Je ne pouvais qu'encaisser. J'avais rêver de me faire prendre sauvagement plus d'une fois mais maintenant que j'y étais, ça me faisait mal, ça me faisait vraiment très mal. A chaque fois que je tentais de me dégager, il me tordait le bras un peu plus dans le dos et me bloquait encore plus. Maintenant j'avais aussi mal au bras.
    
    Si je gueulais il me mettait sa mains sur la bouche et j'avais du mal à respirer, si je tentais de me dégager il me tordais le bras encore plus fort, si je serrais les fesses, ça faisait encore plus mal. Je n'avais pas le choix, je ne pouvais que subir. En plus il était bien monté, il devait être dans la catégorie du mec que j'avais rencontré dans la maison close le soir de mon anniversaire.
    
    Je serrais les dents, je respirait fort, je gémissait mais j'essayais de ne pas faire trop de bruit. Il commençait à me faire un peu peur le gars en plus de me faire vraiment mal au cul. C'est là que j'ai commencé à chialer. Il s'en moquait, voyant que je ne résistais plus, il s'était relevé, ne tenait plus mes bras que d'une main et ses coups de bassins contre mes fesses devenaient de plus en plus violents. Il ne se retenait plus, il se lâchait, sa queue était longue et large, elle ressortait complètement de mon cul puis y revenait avec une extrême violence, bien à fond, en appuyant bien son ventre contre mes fesses.
    
    Il respirait plus fort, plus vite.
    
    Joey : Tu as l'air ...
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