1. Les frasques de Clara. Séverine.


    Datte: 25/04/2019, Catégories: fh, fbi, alliance, hotel, amour, volupté, Masturbation intermast, 69, pénétratio, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... superbes globes bien rebondis et musclés, ses cuisses pleines barrées de bas…
    
    L’impression dans cette superbe chambre de trousser une comtesse de passage !
    
    — Viens ! gémit-elle. Viens ! Je suis prête, je mouille ! Depuis le temps !
    
    En me plaçant, prêt à fondre en elle, je joue d’un doigt à appuyer sur sa rosette, à la lubrifier avec son jus, tenter de l’ouvrir un peu.
    
    — Eh ! s’écrit-elle. Pas par là ! Pas encore ! Ah ! salaud, tu voudrais bien hein !?
    
    Elle étouffe un cri quand je la pénètre et, levant une jambe, d’un mouvement souple et assuré, me cherche au plus profond.
    
    — Ah ! Enfin ! Ta grosse queue ! Baise-moi… baise-moi ! ahane-t-elle.
    
    En manque, Clara ! Rares ces mots crus… C’est vrai que nous avons peu de temps, il nous faut du piment, nous doper !
    
    La tenant par les hanches, je rejoins ses mains qui soutiennent sa robe relevée.
    
    Elle insiste, comme pressée d’en finir.
    
    — Bourre-moi ! Oui ! Aller !
    
    Mon rythme se fait sauvage, ses fesses m’accompagnant dans cette chevauchée infernale à l’équilibre précaire.
    
    — Oui ! A fond ! Perce-moi ! Fais-moi mal ! gémit-elle en ondulant de plus belle.
    
    Soudain elle se cambre, me rejetant presque, grogne et enfin expulse son plaisir dans un cri contenu, lèvres serrées.
    
    — Encore ! Encore ! souffle-t-elle en s’agitant pour recueillir à présent ma libération.
    
    Puis elle me fait face, m’enlace, m’embrasse goulûment, essoufflée. Je sens ses jambes trembler, se dérober, ses seins s’évader de sa ...
    ... robe, tétons durcis. Je la soutiens et elle laisse aller sa tête sur ma poitrine.
    
    — Ah ! toi, toi… Enfin ! Tu m’en as mis plein ! Quel pied ! Merci… je te rendrai ça au centuple ! Tu verras…
    
    Mais Clara, c’est Clara… Sa récupération est rapide, pas le temps de finasser !
    
    Elle se dégage vivement, passe rapidement à la salle de bains, se rajuste, s’observe une seconde dans une glace, et s’apprête à repartir.
    
    Le tout, en peut-être cinq minutes chrono !
    
    — Que je te dise… Arnaud m’a dit que si je te voyais, tu pouvais venir boire un verre…
    — Ah ! Si tu me voyais… mais comment ? Je…
    — Tu diras que c’est la réception qui t’a prévenu… de ma part. Tu descends ? Ah ! oui, on s’est connu à la fac… Enfin tu inventes !
    — Eh ! paniqué-je. Quelle fac ? C’est flou ! Et quand ?
    — Pas d’importance ! élude-t-elle. Arnaud a quasiment toujours vécu loin d’ici…
    
    Et elle s’enfuit, dans un bruissement de tissu, après m’avoir demandé de regarder dans le couloir… Un ouragan cette femme !
    
    Je reste bête quelques instants. Presque à me demander s’il s’est bien passé quelque chose ici, dans cette chambre ! Venue, baisée, repartie ! Ça alors !
    
    Rien à faire, elle adore ces rapports furtifs, rapides, et non moins intenses !
    
    o-o
    
    Les portes du grand salon sont largement ouvertes, il y a beaucoup de monde, discutant par groupes le verre à la main. Personne ne me remarque, je rentre et me mêle aux invités.
    
    Une main sur mon épaule… Une voix, Clara :
    
    — Un verre, Jean-Pierre ...
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