Les frasques de Clara. Séverine.
Datte: 25/04/2019,
Catégories:
fh,
fbi,
alliance,
hotel,
amour,
volupté,
Masturbation
intermast,
69,
pénétratio,
ecriv_c,
Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe
... elle, me dirait : « T’occupe, elle en veut, baise-la ! », enfin je crois.
— J’ai un studio, ici, au troisième, tu montes ?
Je sursaute. Sa main qui me serre et son invitation me rappellent aux réalités.
— Aller, cinq minutes ! Je t’mangerai pas ! insiste-t-elle.
Mon portable sonne ! Alleluia ! Sauvé provisoirement ! Je descends de voiture, comme si je m’enfuyais.
— Tu permets ? lui dis-je, heureux de m’éclipser.
Elle me fait une grimace, me tire la langue à travers le pare-brise, l’insolente !
C’est Clara…
— Coucou, mon bichon ! Je voulais savoir, ton voyage, enfin tout, quoi !
Bichon ? Bon, on verra plus tard… Je lui explique rapidement la situation, ce qu’a deviné Séverine, le coup des cheveux avec le sperme, et maintenant ses avances plus qu’appuyées…
— Merde ! La tuile ! s’écrit-elle. Heu ! Elle ne dira rien… C’est le vilain petit canard de la famille, très indépendante, présomptueuse.
— Eh ! Mais moi, qu’est-ce que je fais ? On est en bas de chez elle… elle veut que je monte ! paniqué-je
— Ah ! fait-elle simplement. T’es dans le caca, Jean-Pierre !
Ben voyons ! Dans le caca, oui ! Je reprends, au comble de l’énervement :
— Ecoute ! J’ai pas envie ! C’est ta belle-sœur ! Et puis pour Laure…
— Gagne du temps ! décide-t-elle. Je sais pas… un flirt poussé, comme ça elle se calmera un peu. Jean-Pierre, c’est un cas de force majeure, une « raison d’état » !
Je ris, effondré. « Une raison d’état ! ». Oui ! On peut le dire ...
... !
o-o
Je suis résigné, mais décidé à expédier « la chose ».
Nous montons l’escalier jusqu’à son studio. Je pense : « Raison d’état », tu parles ! Pour l’heure je n’en mène pas large… Séverine est curieusement silencieuse et sage. Tiens ?
— Voilà ! Mon petit nid… me lance-t-elle, tu viens ?
Sa main m’invite à m’asseoir à côte d’elle sur le canapé. Elle a l’air intimidée, ce n’est plus la fille déterminée de tout à l’heure… Ah ! elle veut un homme, et au pied du mur…
Une fois assis, je lui passe un bras autour des épaules. Elle frissonne, me regarde, inquiète, se trémousse.
Je décide d’un acompte, en glissant mes doigts dans son décolleté.
— Je ne peux pas rester longtemps, mais voyons… murmuré-je.
Un beau petit sein, juste pour la main, ferme, chaud, que je saisis sous la dentelle.
Le téton se dresse, dur et gonflé, agaçant mes doigts. Elle gémit, ferme les yeux, me tend ses lèvres. Je l’embrasse doucement…
Sa bouche est fraîche, sa langue inexpérimentée. Mon autre main entreprend, lentement, sous sa jupe, le chemin du genou, à la cuisse, pour s’arrêter, à plat, sur la bosse de son pubis, à travers sa culotte. Celle-ci, soyeuse, humide, appelle à la contourner.
Dans le même temps, maladroitement, timidement, sa main me palpe à travers le pantalon.
Poussant un petit cri, elle ouvre ses jambes. Un doigt, puis deux se glissent sous son slip et cherchent son abricot. C’est bien mouillé et palpitant ; elle se tord, et se caresse sur mes doigts en bougeant ...