Photos de famille (7)
Datte: 24/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... plus tard si je te fais jouir maintenant ?
- Si tu souhaites une faciale abondante, je ne te garantis pas le déluge... Gwen a fait main basse sur le stock la nuit dernière, mais s’il s’agit de faire une seconde séance de rodéo, tu peux compter sur moi. Ça te dirait de faire trempette dans la piscine entre les deux ?
- Oh oui ! Mais je n’ai pas de maillot de bain.
- Ne me fais pas croire que ça te gênerait de te baigner nue devant moi après t’être enfoncé ma queue dans le fondement !
- Devant toi, pas de problème. Mais que dirait ta mère s’il lui venait l’envie de faire quelques longueurs parce qu’elle ne trouve pas le sommeil grâce à son séducteur de fils qui couche avec ses sœurs ?
- Oui, tu as raison. Je pourrais aller en demander un à Sabrina, même si au niveau de la poitrine tu risques de nager, et pas que dans la piscine.
- On verra, mais merci de souligner au passage que les nibards de ta sœur t’impressionnent plus que les miens !
- Tais-toi et occupe-toi de me faire éjaculer dans ton petit cul de gourgandine.
- Un gourdin pour une gourgandine, on ne peut pas trouver mieux...
Ophélie s’enfonça la bite jusqu’à la garde, arrachant un râle puissant un Anton. La course contre la montre était engagée. À chaque retour, la queue ressortait ; la photographe adorait la sensation que ce barreau de chair lui procurait lorsqu’il franchissait l’anneau de muscles. Anton fit de la résistance afin d’offrir à sa partenaire un maximum de plaisir ; la sueur ...
... perlait sur son front quand bien même il n’était pas celui qui s’activait le plus. Ophélie, elle, se défonçait le cul – dans tous les sens du terme – pour le moment libérateur qui l’inonderait. Depuis leur première fois dans les toilettes du bar, elle n’avait de cesse d’espérer ressentir le sperme d’Anton couler en elle. Il serra les mâchoires, espérant gagner encore quelques secondes, peut-être même des dizaines de secondes.
- Missile sur la rampe de tir !
Ophélie se déchaîna davantage. Anton sut qu’il devait céder ; il agrippa la jeune femme par les épaules et la harponna dans un ultime effort. Elle contracta ses muscles autour de la queue comme pour s’assurer d’en extraire la moindre goutte. Depuis le temps qu’elle attendait ce moment ! Rien que les soubresauts chaotiques auraient suffi à la faire jouir tant ils étaient pour elle annonciateurs de cette fulgurance crémeuse dont elle serait la bénéficiaire. Secoué par un orgasme spectaculaire, elle s’effondra sur son amant qui la serra contre lui.
Plongés dans une somnolence extatique, ils semblaient ne former qu’un corps. Leur respiration bruyante était la seule perturbation dans cette chambre maintenant plongée dans le plus grand calme. Sans se voir dans l’obscurité de la pièce, ils se souriaient. D’ailleurs ils ne cherchaient même pas à se regarder : Ophélie gardait sa tête collée contre le torse d’Anton, entendant son cœur battre à rompre puis se calmer au fil du temps, couvert par la respiration profonde. Les yeux ...