Histoires de candaulisme (7) : A L'ANGLAISE
Datte: 23/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... pour une chambre chez Linda. Les premiers temps, je la baisais tous les soirs, toutes les nuits et tous les matins. Et toujours en présence de Bob qui nous matait en se touchant la queue. J'ai fini par ne même plus penser à lui. Il était là comme une armoire. De temps en temps, il prenait la parole pour imposer une posture particulière et il nous filmait. J'ai pris conscience alors que Linda était vraiment exhib. Elle adorait se montrer dans l'amour. Mais au bout de quelques jours, l'âge l'a rattrapée et elle a eu un gros coup de barre. Elle dormait tout le temps. "You kill me", tu me tues, me disait-elle.
Alors, elle et Bob m'ont présenté à Beryl, une de leurs amies anglaises, au courant de nos frasques et qui me couvait du regard chaque fois que je la rencontrais. Une quadra blonde à chair rose et à gros seins, tout autant mariée avec un dénommé Hugh. Je la baisais dans ma chambre en présence de Bob, de Hugh et même de Linda qui participait sur un mode plus relax. Une bonne baiseuse, Beryl, très cochonne, très bavarde : "give me your cock" (donne-moi ta queue), "'lick my pussy" (lèche-moi la chatte), "screw my ass" (encule-moi) constituaient ...
... quelques unes de ses phrases que je comprenais. Elle adorait se faire prendre par son gros cul et je crois bien que je n'enculerai jamais autant que j'ai pu enculer durant cet été.
Au bout du compte, c'est moi qui ai fini le mois vidé de ma substance. Si mes couilles ressemblaient à deux citrons en début d'été, elles s'étaient transformées en noyaux de cerise ! Et là maintenant, sur ma chaise, je dois me cramponner pour ne pas m'endormir. Tiens, voilà mes Anglais qui viennent se baigner. Beryl a bien du mal à contenir ses mamelles dans son soutif de bikini. Combien de fois je les empoignées, celles-là ! Mais maintenant, je suis un peu saturé. Elles me font un petit salut avant d'aller à la flotte. Je les regarder nageotter. C'est la dernière fois. Demain, je rentre au bercail. Complètement essoré puisqu'elles vont encore se relayer pour me chevaucher ce soir devant leur jules en train de se branlotter. Il y a un moment que je n'éjacule plus, ou si peu. Mais elles s'en fichent pourvu que je sois raide, et je dois dire que je le suis encore, ce qui m'épate moi-même. Mais que je suis fatigué. Vivement la quille que je puisse enfin dormir... dormir... dormir...