Mon fils amoureux de moi . (1) - Histoires de Sexe

Mon fils amoureux de moi . (1)

... chemisier, je ne porte jamais de soutien-gorge, mes seins se dressent d’un coup.

Marc ne peut s’empêcher de dire :

— Ils sont magnifiques, petite maman !

Il pose sa bouche sur un mamelon et le tète comme quand il était bébé. Je frémis, j’appuie sur sa tête pour accentuer la pression sur mon sein. Je me surprends à gémir.

C’est en alternant qu’il suce mes boutons dressés au centre de leur aréole brune.

Pendant qu’il tète, une main descend sur ma taille et cherche maladroitement le zip de la fermeture de ma jupe. Je la repousse, et fais descendre moi même la fermeture.

Il délaisse mes seins, fait glisser ma jupe sur le sol, je donne un coup de pied pour l’envoyer un peu plus loin. Je suis en culotte face à mon futur amant.

— Viens maman, allons sur le canapé !

Avant de m’asseoir, je retire ma culotte, qui commençait à s’humidifier. Je le regarde droit dans les yeux, et dégrafe sa ceinture, je baisse son jeans, une bosse énorme déforme son slip, il sourit et dit:

— Eh oui, maman, tu me fais bander !

Je saisis le membre à travers le slip, et le branle tant bien que mal.

— Attends maman, ne sois pas impatiente ! qu’il me dit en souriant.

D’un geste rapide, il retire son slip. Sa bite est imposante, je ...

... m’attarde à la caresser d’une main, enfin je me penche et gobe le gland, je le suce avidement. Ma langue descend sur la hampe veineuse de nombreuses fois.

— Arrête maman, je vais décharger, mets -toi sur le bord du canapé, je vais te bouffer la chatte, j’en ai tellement envie !

— Oui mon chéri, dévore maman, ça fait si longtemps qu’on me l’a pas fait !

La bouche vorace de mon fils et plaquée contre ma vulve, sa langue fouille le conduit détrempé. Je me raidis en geignant, il aspire mon clito et le suce goulûment. Mon bouton a triplé de volume, j’agite mon bassin à chaque coup de langue.

Je pousse un cri, me cabre et lui envoie dans la bouche une giclée si puissante qu’il manque d’étouffer. Il se redresse, place sa bite contre ma vulve gonflée et donne un coup de reins si violent qu’il s’enfonce en moi jusqu’aux couilles. Je pousse un cri de satisfaction, je m’accroche à. lui et grogne.

— Oui oui mon chéri, défonce maman, cela fait bien longtemps qu’elle ne sait pas faite démonter, vas-y vas-y !

Mes paroles ne le surprennent même pas, il sourit. Sa bite puissante entre et ressort de mon conduit brûlant à une vitesse qui augmente au fur et à mesure que je geins.

Les assauts sont terribles, je me cabre et expose en hurlant.