Mon fils amoureux de moi . (1) - Histoires de Sexe

Mon fils amoureux de moi . (1)

... trempée, je retrousse ma jupe et écarte ma culotte d’une main, et j’enfonce deux doigts de l’autre dans ma fournaise. Je me fouille jusqu’à ce que je jouisse, je rabats ma jupe, mais je deviens folle ou quoi, je me masturbe en pensant à mon enfant.

C’est à ce moment-là que Marc entre, il n’a pas cours cet après-midi.

— Oh, maman, ça ne va pas, tu es malade, mais tu as bu ?

— Non, je suis pas malade mon chéri, c’est à cause de toi que j’ai bu !

— Tu m’as tellement perturbée que je ne sais plus où j’en suis !

— Moi, maman ? Parce que j’ai dit que je t’aimais ?

— Oui, pas le pape idiot ! Avec tes propos, je commence par perdre la raison !

— Nous en reparlerons un autre jour, je ne suis pas en état aujourd’hui !

Après le repas du soir et une bonne douche, je monte me coucher. Je passe une nuit agitée, je me tourne dans tous les sens, je transpire tellement que je dois reprendre une douche et changer les draps. Je passe une nouvelle nuisette et me recouche.

Marc frappe à ma porte.

— Maman, qu’est qui se passe, tu en fais un ramdam dans ta chambre ?

— Ce n’est rien mon chéri, va dormir !

— Maman, tu m’ inquiètes, j’entre !

Il ouvre la porte et vient s’asseoir sur le bord de mon lit.

— Va te coucher mon chéri, j’ai besoin de faire le vide dans ma tête, allez, sors stp !

Il sort en ronchonnant.

Le lendemain, je suis la première levée, je prépare le petit-déjeuner, comme d’habitude, Marc sort de la salle de bain, dépose un petit baiser ...

... le plus près de mes lèvres et m’enlace.

— ça va mieux maman !

— Oui mon chéri, très bien !

Pendant le petit-déjeuner, nous parlons de chose et autre, Marc ne cesse de me fixer, son regard est si intense que j’en suis perturbée. Je bégaie pour répondre à ses questions.

Il me saisit les deux mains et dit :

— Maman je t’aime, je veux que tu sois à moi, depuis que papa nous a quittés, tu n’es plus la même, toi si souriante d’habitude, maintenant, tu as un regard triste !

Il m’embrasse les mains plusieurs reprises, je soupire en pensant qu’il a raison.

— Marc, il est impensable que je sois à toi, je suis ta maman !

Je ne pense pas vraiment ce que je lui dis, moi aussi j’ai envie de lui. Il me lâche les mains, se lève, fait le tour de la table et me demande de me mettre debout.

Je me lève, ses bras m’enserrent, il me plaque contre lui, mon corps tremble. Il pose ses lèvres sur les miennes, sa langue passe plusieurs fois sur mes lèvres, j’entrouvre la bouche nos langues se cherchent, j’accepte son baiser.

Mon cœur bat à se rompre dans ma poitrine, le baiser cesse.

— Nous sommes fous, il ne faut pas mon chéri !

— Laisse -toi aller maman, je sens que tu m’aimes aussi !

Je ne lui réponds pas, sa main se pose sur ma poitrine, il presse doucement un sein en épiant ma réaction. Je n’arrive même plus à protester, j’ai trop envie de lui. C’est ses deux mains maintenant qui massent mes lobs mammaires.

Je soupire, il dégrafe un à un les boutons de mon ...