1. Le portrait d'Aphrodite.


    Datte: 21/04/2019, Catégories: fh, couple, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral nopéné, jeu, Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe

    ... bataille, de ce délicieux combat singulier pour nos plaisirs pluriels. Puis elle pense à elle sans malice : elle s’excite en glissant le dos de sa main autour de ses petits seins ronds qui tressautent au rythme des saccades qui agitent mon bras. Je ne peux pas m’empêcher d’être attiré par les reflets magnétiques de ses immenses yeux bleu turquoise. Mais je suis trop près d’elle. Cà distord les proportions de son visage : ses lèvres rouge carmin entrouvertes étouffent sa petite langue pointue, qu’elle glisse par moments dans mon cou. Ses sourcils lissés, qui d’habitude affinent son regard, agressent ses beaux cils irisés de libellule bleue. Je me console, en me penchant sur sa poitrine, pour l’aider à se donner du plaisir en léchant ses mamelons délicieux.
    
    En me regardant faire, elle passe sa langue sur ses lèvres puis elle me fait un baiser "sens interdit" : Ses yeux fermés à fond, son index interposé entre nos deux bouches écrasées rend impossible ce contact tant désiré. Le roulement de nos têtes est intense et la décharge électrique qui me transperce quand elle casse cette étreinte est si violente ! Pour elle aussi, à en croire sa main qui me laboure l’épaule.
    
    Elle saisit mon poignet pour m’écarter. Puis elle enveloppe ma verge de l’étoffe de sa main, les yeux fixés sur la petite goutte d’excitation qui perle au sommet de mon phallus tendu de désir. Les va-et-vient de ses doigts qui me caressent sont aussi doux que son regard. Puis elle se penche lentement… Elle me ...
    ... goûte. Les yeux mi-clos, je la laisse m’embellir de toute sa volonté, de toute la chaleur mouillée de ses lèvres qui enveloppent intensément mon gland. Comment se fait-il que tant de douceur puisse me forger un membre si dur ?
    
    Je reprends mon souffle. Petit à petit, mes poumons se gonflent de cet air si chargé de son parfum et de sa présence : Je me gonfle d’elle, elle me remplit, elle est en moi. Elle ne me masturbe pas, non : Elle me fait tendrement l’amour. Mais je ne dois pas la laisser faire : Je lui ai promis. Je saisis son bras et je luis dis :
    
    — Non. C’est moi qui dois te l’offrir.
    
    Elle sourit puis elle referme mes doigts sur mon sexe. Elle laisse sa main en enserrant plus fort nos doigts mêlés ! C’est elle qui me fait onduler en me pénétrant de son regard de femme, mais c’est moi qui ai son érection de chair tendue et dure.
    
    Puis elle se place face à moi et se recule, pour me contempler tout entier. Maintenant les saccades de ma main résonnent dans mon pubis comme des coups de masses érigeant les colonnes d’un temple grec.
    
    Elle se rapproche, parée et couronnée de sa nudité sacrée de prêtresse antique. Comme pour perpétuer les rites de ces prostituées sacrées du temple d’Aphrodite à Corinthe : elles s’offraient aux fidèles pour rendre hommage à cette déesse des amours fous. Mais moi ? Suis-je assez fou de mon Aphrodite pour mériter sa passion ?
    
    À présent la chaleur de ses mains sous mon sexe vendange mes raisins charnus et ses paumes en pressoirs me ...