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Terre des hommes (5)
Datte: 18/04/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... savoir. — Si, si c’était juste pour avoir une confirmation. J’aimerais que tu commences par le caresser… — Stop ! Je veux bien baiser avec vous deux lorsque Marielle sera partie, mais c’est moi qui décide de quelle manière je le fais. Je ne veux pas recevoir de consigne. Derrière la mince cloison, Bernard la bite à la main écoutait la discussion en se masturbant. Son diable de copain venait de monter sa femme et il lui préparait donc vraiment un moment de rêve. Alors, pourquoi être plus royaliste que le roi ? Dans le couloir une lame de plancher avait légèrement craqué. L’homme suspendit son geste libérateur. Une impression ou bien… quelqu’un se déplaçait dans le passage qui menait à la cuisine ? Il remonta son slip et retourna dans sa couche. Il eut l’impression que la porte de sa chambre s’ouvrait. Un sentiment étrange le tenaillait. Rêve ou réalité ? Il sentit comme une présence, et sut lorsque le drap se souleva que celle qui arrivait n’avait pas froid aux yeux. Elle lui posa de suite la main sur la bouche et se lovant contre lui, elle lui murmura délicatement. — Chut ! Ne faites pas de bruit. Laissez-les deux-là se remettre en chantier et occupez-vous de moi. Vous pourrez ainsi constater que je peux avantageusement remplacer ma sœur, au moins pour une heure ou deux. — Mmm ! — Quoi ? Ah oui, pas facile de parler avec la bouche fermée… Elle gloussait doucement. Puis se ravisant elle se remit assise à droite de Bernard. — Si nous allions ...
... dans ma chambre ? Nous y serions plus à l’aise qu’ici. Ils n’ont pas besoin de nous entendre. Enfin je doute qu’ils puissent entendre quoi que ce soit, elle couine comme un lapin qui se fait monter par son mâle… mais vous voulez bien me suivre ? Pas un mot n’était sorti de la gorge de l’invité qui se bornait à exécuter les désirs de la môme. Il avait bien senti dans le noir qu’elle ne portait rien sur elle. Et sa menotte avait frôlé sa verge tendue dans son caleçon. Donc il ne pouvait pas mentir, ça n’aurait du reste servi à rien. Sinon à perdre un bon coup. Et à la remorque de Marielle, il s’était retrouvé dans le plumard de la belle. Avec un certain plaisir, il devait bien se l’avouer. Les grandes manœuvres s’en étaient trouvées grandement facilitées par la jeunette qui avait un tempérament de feu, à l’instar de sa frangine. Les mains se promenaient en toute quiétude sur le corps de l’homme, l’obscurité facilitant vraisemblablement les contacts. Puis elle avait adjoint ses lèvres aux jeux de moins en moins innocents. Lui avait retrouvé avec bonheur ses patins si bien roulés, les encourageait avant de les déclencher seul. Et de fil en aiguille, ils n’avaient pas fait qu’enfiler des perles. Elle se montrait bonne amante, un zeste plus fougueuse que Marie-Anne. Sa jeunesse sans doute n’avait pas que des désavantages. Quand elle eut mis à nu la queue raide du bonhomme, ses doigts encerclèrent le jonc. Il soupirait déjà depuis un long moment. Et dans la foulée, en se ...