1. Duchesse et catin (5)


    Datte: 26/02/2018, Catégories: Divers, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... possibles et imaginables qui servent à qualifier les femmes de mauvaise vie. Et puis il lui demandait sans cesse si sa queue était bonne et si elle la sentait bien. Bien sûr, j’en avais été choquée, d’ailleurs pas la première fois tellement j’étais excitée à ce moment-là, mais ensuite ces mots m’avaient paru déplacés. Le duc ne le faisait jamais. Megan, qui ne répondait pas à ces insultes, m’avait fait comprendre qu’un homme ne parlait jamais ainsi à sa femme, du moins dans certains milieux. On gardait ces propos pour une maîtresse... et encore, davantage pour une prostituée. Mais certains couples le faisaient et cela dénotait une grande complicité. Pour elle, c’était la preuve que Jack prenait du plaisir.
    
    — Alors il ne prend pas de plaisir avec moi ?
    
    — Bien sûr que si... mais il n’ose pas vous parler comme à moi. Et il n’osera jamais.
    
    — Vous êtes sûre ?
    
    — Oui, vous l’impressionnez trop... A moins que vous ne preniez l’initiative en employant vous-même le vocabulaire adéquat pour l’encourager. Si vous lui parlez comme il me parle...
    
    — Ô ! Jamais je n’oserai !
    
    Mais cela ne m’empêcha pas d’enrichir mon vocabulaire. Et, quand j’étais seule, je m’amusais parfois à employer tous les gros mots qualifiant toutes les parties intimes des hommes et des femmes.
    
    Bref j’étais aux anges jusqu’au jour où je me fis la réflexion qu’il y avait bien longtemps que je n’avais pas vu mes règles. Les précédentes dataient des quelques jours avant mon mariage... et cela ...
    ... faisait plus d’un mois que j’avais convolé. Ce pouvait-il que ce vieux bandeur m’ait engrossée ? Car, évidemment, il ne pouvait être question que de lui, Jack ayant toujours scrupuleusement évité de me juter dans le vagin. Il n’avait d’ailleurs nul besoin de le faire vu qu’il était autorisé à me couvrir de sa semence partout ailleurs.
    
    Je ne ressentais cependant aucun autre symptôme. J’en fis part à Megan qui m’affirma qu’il ne pouvait y avoir de doute. Mais pour plus de sécurité, il me fallait consulter.
    
    Je prétextai une légère indisposition pour ne pas donner de fausses espérances à mon époux qui espérait tant un héritier.
    
    Aucun doute, non vraiment aucun.
    
    J’étais très heureuse, à la fois d’être mère et de donner satisfaction au duc qui n’était que bienveillance pour moi.
    
    Mais j’aurais mieux fait de me taire.
    
    Tellement préoccupé par la crainte que ma grossesse n’aille à son terme, mon mari m’interdit rigoureusement d’avoir des rapports sexuels.
    
    J’acceptais, pensant qu’il me serait facile et salutaire de pratiquer une certaine ascèse pendant quelques mois.
    
    Mais au bout de quelques soirs, force me fut de constater que j’étais en manque, un manque que je domptais rapidement avec ma boîte magique. Qu’est-ce que j’étais heureuse de l’avoir !
    
    Seulement, au bout de quelques soirs, j’en eus vite fait le tour. Ils étaient bons dans la chatte et le cul, mais n’avaient pas le goût incomparable d’un vrai sexe de chair, ni sa ferme douceur, ni l’odeur puissante des ...