1. La petite couturière


    Datte: 17/04/2019, Catégories: Hardcore, Masturbation Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... jusqu’en lisière de ma chatte.
    
    Dans le miroir, je me suis adressée à la propriétaire du vêtement.
    
    Je lui ai dit :
    
    « Espèce de grosse salope. »
    
    Puis je me suis branlée.
    
    Avec mes doigts pour commencer, en observant la scène dans le miroir. Et avec une bouteille en verre. Je me suis faite jouir deux fois de suite, puis j’ai enlevé la robe pour me mettre à quatre pattes sur mon lit et m’enculer avec la même bouteille.
    
    Deux jours plus tard, c’est le mari qui vint récupérer la robe retouchée. Il avait au moins cinquante-cinq ans. Les cheveux grisonnants, assez grand, comme sa femme. Un peu plus grand que moi. Un bel homme, élégant, plein de fric, ça se sentait.
    
    Je lui ai montré la robe. Il l’examina à la lumière, en particulier au niveau de la fente que j’avais augmentée, puis il me regarda et dit :
    
    « Ça me semble très bien, mais… »
    
    Il reposa la robe sur ma table de travail et compléta :
    
    « Cela vous ennuierait-il de la passer, afin que je sois bien certain que la fente monte suffisamment haut ? Vous êtes à peu près de la même taille que mon épouse, cela devrait me donner une bonne idée. »
    
    J’ai accepté.
    
    La veille, je m’étais de nouveau branlée devant ma glace avec cette robe de salope. J’avais joui trois fois. Et, tout en me déshabillant dans ma cabine d’essayage, tandis que l’homme patientait, j’ai repensé à ce que j’avais fait.
    
    Je me suis mise toute nue, puis j’ai enfilé la robe. Je l’ai ajusté dans le miroir de la cabine, puis, pieds nus, ...
    ... je suis ressortie.
    
    Et en me voyant, l’homme s’est aussitôt écrié :
    
    « C’est merveilleux ! C’est absolument parfait ! »
    
    Je me tenais debout à deux mètres de lui et son regard n’en finissait pas d’arpenter les courbes de mon corps avec cette robe.
    
    Il ajouta :
    
    « Vous êtes sublime. Pouvez-vous vous retourner ? »
    
    J’obéis.
    
    « Bon sang… dit l’homme dans mon dos. Vous avez de superbes fesses. Quel âge avez-vous, mademoiselle ? »
    
    « Vingt-neuf ans, dis-je. »
    
    « Voilà, dit l’homme. Vous avez les fesses que ma femme avait il y a un peu plus de vingt ans. Et à peu près la même poitrine. Vous êtes sublime, répéta-t-il en s’avançant vers moi. »
    
    Je lui ai refait face.
    
    Il était à moins d’un mètre.
    
    Il a dit :
    
    « C’est exactement ce que nous voulions, ma femme et moi. Cette fente le long de votre cuisse, bon sang… C’est tout à fait réussi. Voulez-vous savoir quel détail me plait particulièrement ? »
    
    J’ai haussé l’épaule et il a pointé le doigt vers ma cuisse en disant :
    
    « La marque de l’élastique de votre culotte, là. C’est vraiment splendide. J’irai même jusqu’à dire que c’est émouvant. »
    
    « A ce point-là ? dis-je. »
    
    Il fit un pas de plus vers moi en répondant :
    
    « Oui. Emouvant, c’est le mot. Vous êtes toute nue sous cette robe et c’est parfaitement émouvant. Ma femme ne m’a pas menti, ajouta-t-il. Vous avez un corps magnifique. »
    
    Sur ces mots, il posa une main délicate à l’emplacement de l’élastique de ma culotte, puis il répéta :
    
    « Ma ...