1. La petite couturière


    Datte: 17/04/2019, Catégories: Hardcore, Masturbation Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Le métier de couturière ne se résume pas à raccourcir des pantalons et à recoudre des fermetures éclair. Il arrive que des clients ou des clientes me demandent des choses bien plus passionnantes. Modifier la coupe d’une robe, par exemple. Ce fut le cas d’une femme que je n’avais jamais vue auparavant, et qui entra dans ma boutique un matin en pleine semaine.
    
    Une femme très bien sur elle, assez grande. Un chignon soigné, une forte poitrine et de longues jambes. Je lui ai donné la cinquantaine. Sa demande sortait de l’ordinaire de mon travail : la robe de marque que son mari lui avait offerte pour son anniversaire n’était pas assez fendue, selon elle.
    
    Elle sortit la robe d’une poche en papier et la déplia délicatement sur ma table de travail. Elle était assez longue et souple, couleur de noix, très agréable au toucher. La femme me dit alors :
    
    « Pourriez-vous augmenter la fente d’environ vingt centimètres ? »
    
    A vue d’œil, la robe était déjà bien fendue, au moins jusqu’en haut des cuisses. Je n’aurais aucune peine à la découper, puis à reprendre la finition jusqu’au niveau souhaité.
    
    J’ai répondu :
    
    « Elle risque d’être vraiment très fendue. »
    
    « Oui, dit la femme en souriant. C’est ce que je souhaite. »
    
    « Bien, répondis-je. Pouvez-vous la passer, afin de bien définir le niveau de coupe ? Il y a une cabine au fond de la boutique. »
    
    Deux minutes plus tard, elle ressortit avec cette robe sur le corps. Et je sus tout de suite ce qu’elle souhaitait ...
    ... exactement.
    
    « Vingt centimètres, dis-je, cela signifie qu’on verra l’élastique de votre culotte. Et même un peu plus haut. »
    
    « C’est ce que je souhaite, dit-elle en me souriant. Je la porterai sans rien dessous. C’est aussi ce que veut mon mari. »
    
    « Parfait, répondis-je en admirant la robe. »
    
    Elle était coupée juste au-dessus des chevilles. Le dos était dénudé et il me sembla évident qu’on ne pouvait pas porter de soutien-gorge avec ce genre de vêtement hautement soigné et admirablement découpé. A moins d’être très indélicat. Ni soutien-gorge, ni culotte donc.
    
    « Est-ce possible ? dit la femme. »
    
    « Oui. Sans aucun problème. »
    
    « Combien de temps vous faudra-t-il ? »
    
    « Deux jours, cela vous convient ? »
    
    « C’est parfait. »
    
    Mais je me mis au travail le jour-même, pour la simple et bonne raison que je n’avais qu’une envie : essayer cette robe. Et c’est ce que je fis le soir, chez moi, dans ma chambre. Je me mis à poil et passai la robe sur mon corps. Puis je me regardai dans la glace de mon armoire. Le décolleté était à la limite de l’insolence, mais pas autant que la fente dessinée le long de ma cuisse gauche. Elle montait bien au-dessus de ma taille, revendiquant clairement que je ne portais pas de culotte.
    
    Je me suis assise au bord de mon lit, toujours face au miroir, puis je me suis touchée. D’abord la cuisse en question, puis un sein. Je l’ai fait déborder du décolleté, de sorte à ce que mon téton dépasse un peu. Ensuite, j’ai écarté le pan de la robe ...
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