Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (28) Enceinte et toujours hypersexuelle : la suite
Datte: 17/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... Merci, c’est gentil de me proposer votre aide. Appelez-moi Olga. Je vous remercie, c’est vrai que ça devient difficile, je suis seule à la maison, mon mari travaille et mon amant est pour le moment allé voir ailleurs. Je vous choque ?
• Pas du tout. Les gens parlent beaucoup et de façon très méchante au sujet de votre foyer. Pour moi, vous faites votre vie comme vous l’entendez, ça ne regarde que vous. Vous savez, je suis un homme ordinaire, un père de famille, un mari fidèle. Jamais je n’aurais imaginé que j’ose vous adresser la parole.
L’homme prend mes paquets pour les ramener chez moi.
Arrivés chez nous, je le fais entrer pour lui proposer un café. Il me regarde fixement et je comprends son désir, qu’il n’ose avouer.
A posteriori, je pense pouvoir dire que mon corps laisse transparaître mon besoin de sexe.
Je sors l’homme de sa rêverie et pointe son entrejambe :
• Oh, c'est moi qui vous mets dans cet état ? J'aimerais continuer à exciter mon amant, mais depuis quelques temps il ne m’honore plus, ma grossesse ne lui fait plus le même effet qu’à vous.
Il rougit. J’en rigole.
• Ne rougissez pas : je suis flattée et heureuse de faire cet effet à quelqu'un. Vous pouvez me laisser la toucher ?
Les yeux soutenant mon regard gourmand, il ne dit rien. Alors je m’approche de lui, dépose un baiser sur sa joue et, après avoir sorti sa queue du pantalon, je prends son membre en main.
• Elle est belle ! Ah ! Quelle envie, si vous saviez !
Je le ...
... masturbe légèrement ; il a les yeux fermés, ma main est sur son sexe, mes seins lourds collés à sa poitrine. Lentement je m’agenouille. La tête entre ses jambes, j’entame une fellation, je prends un plaisir immense à sucer son sexe. Il ferme les yeux, il est au paradis.
J’ai commencé par le gland, ma bouche ne quitte pas son sexe. L’homme met une main sur mon sein et commença à le malaxer. Je gémissais en même temps que je plongeais son sexe au fond de ma gorge. Après quelques va-et-vient profonds, je pris son sexe en main et releva la tête. Je reculais légèrement et, les yeux dans les yeux, je lui dis :
• Viens dans ma bouche ! J’adore le sperme, tu sais. Chaque matin, je commence la journée en taillant une pipe à mon mari.
Une petite dizaine de mouvements et les contractions caractéristiques se font sentir. La semence chaude et collante se projette dans ma bouche. Je reçois tout, j’avale tout et garde son sexe en bouche, je le nettoie de ma langue coquine. J’ai envie que cela ne s'arrête jamais.
Puis je me redresse et lui glisse à l'oreille :
• Continuons, j’ai envie de toi et je veux cocufier mon mari candauliste et surtout mon amant.
L’homme me regarde, stupéfait, mais se laisse faire.
Sur ce, je le prends par la main. Je l’attire à moi, colle ma poitrine contre lui, féline.
L’homme relève mon haut. Il s’attarde sur mon ventre proéminent et les seins prisonniers du soutien-gorge. Il se fait un devoir de les libérer, ces deux globes lourds et d'un blanc ...