1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (28) Enceinte et toujours hypersexuelle : la suite


    Datte: 17/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    Dans le récit précédent, j’ai expliqué comment, lors de ma première grossesse, notre couple à Philippe et moi, sous la houlette de Rachid, mon amant de l’époque, nous avions vécu mon hypersexualité et le candaulisme de mon époux. Car, pendant toute cette grossesse, mon hypersexualité ne s’était pas calmée, bien au contraire.
    
    Il y a eu deux phases en fait.
    
    Durant la seconde phase, Rachid ne s’occupa plus de moi, me disant cyniquement qu’il attendrait ma délivrance pour redevenir mon mâle et, qu’en attendant, il « irait voir ailleurs ».
    
    Pourtant, pendant une première phase, qui dura jusqu’au cinquième mois de grossesse inclus, Rachid avait continué à assumer pleinement son devoir «conjugal». J’emploie volontiers ce terme car c’est bien ainsi que nous vivions notre ménage à trois depuis que Rachid s’était installé à notre domicile et se comportait, en public comme en privé, comme mon véritable « époux », y compris dans l’occupation du lit conjugal. Cette logique avait été poussé jusqu’au bout, puisque c’était Rachid qui avait conçu notre premier enfant, que je portais à ce moment-là.
    
    Sans revenir aux pratiques extrêmes que nous avions mises entre parenthèses le temps de la maternité, Rachid, au cours de ces premiers mois, pour faire face à ma libido et satisfaire le candaulisme de Philippe, faisait régulièrement appel à du «soutien», comme il l’avait fait une première fois avec Serge, le collègue de travail de Philippe.
    
    Mes états d’âme
    
    Il m’arrivait de ...
    ... culpabiliser mais, vite, très vite, l’excitation reprenait le dessus. Je savais qu’il était trop tard pour faire marche arrière. Je me demandais comment j’en étais arrivée là, comment j’avais pu me laisser faire, succomber ainsi à mon hypersexualité et au candaulisme de Philippe, me laisser dériver. Je ne comprenais pas que, future maman, mon état ne calmait pas mon hypersexualité.
    
    Pourtant je me rappelais qu’il y a encore peu de temps, avant la rencontre avec Rachid en juillet 2007, je voulais être une épouse sage et fidèle. Je refusais alors toutes les tentatives de mon mari Philippe qui avait tout fait pour que je laisse libre court à mon hypersexualité, afin de satisfaire ses propres fantasmes candaulistes. Volontairement (voir récit n°9) il avait fini par me mettre dans les pattes d’un véritable «fauve», ce jeune Rachid, à peine âgé de 18 ans qui est devenu mon mâle et qui, en quelques mois, avait fait de l’épouse modèle, de la belle bourgeoise honorable et hautaine une salope intégrale. Pire encore, Rachid m’a fécondé avec l’accord et en présence de Philippe.
    
    J’étais partagée entre la honte, les remords et, à la fin, j’assumais, me disant que j’avais eu raison de donner libre cours à ma nature profonde, à ces envies qui me taraudaient depuis ma puberté. Et qu’enfin mon mari, l’homme à qui j’avais lié mon destin, l’avait voulu ainsi.
    
    Offerte à un inconnu
    
    Je me souviens particulièrement de cette soirée où Rachid revint à la maison accompagné d’un inconnu. J’étais au ...
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