1. Une heure que je courais


    Datte: 17/04/2019, Catégories: fffh, hépilé, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme couche, uro, scato, attache, yeuxbandés, initiatiq, Auteur: Kris, Source: Revebebe

    ... m’enfourna sans délicatesse la tétine, étrange petit déj, mais affamé je tétai goulûment.
    
    — Il oubliera pas son petit rot…
    
    Je ne relevai pas, le biberon, c’est sacré.
    
    À la fin du biberon, elle se leva, le passa rapidement à l’eau, puis revint tourner en rond dans la pièce.
    
    — Elle le joint quand cet avocat ?
    
    Voilà, ce qui la travaillait, personnellement j’avais presque oublié, occupé à essayer de penser à rien, j’en perdais le sens des choses.
    
    Le temps s’écoula et il ne manquerait qu’un tic tac d’horloge pour parfaire le décor, si, et oui si, mon ventre voulait bien ne pas gargouiller. Vingt heures que je n’avais rien mangé de solide, et mes intestins aimeraient bien se vider, dans le genre sensation de diarrhée qui urge, mais là, ça me paraissait un peu inimaginable. Je tentai !
    
    — Je dois aller aux toilettes.
    — T’as une couche !
    — Je dois pas pisser, je dois aller aux toilettes.
    — Qu’est ce que ça change, t’as une couche !!!
    — Ça fait vingt quatre heure, que je bouffe liquide, ça va pas être joli.
    — Pas le choix, la couche.
    
    Et merde, j’attrapais des suées, il fallait que je me vide, en plus avec quelqu’un à côté, c’était super gênant, mais là, c’était tout de suite ou le malaise.
    
    Pas d’erreur c’était bien liquide, et ça s’étalait partout, je sentais la chaleur qui montait de chaque côté de la couche, mes testicules baignaient et je n’osais imaginer le reste.
    
    — Quand t’as fini, tu me dis, parce que ça à l’air d’être une infection.
    — J’ai ...
    ... fini.
    — Bon, branle bas de combat, avant que tu empestes la pièce.
    
    Vu la personnalité de ma nurse, on risque d’être bien loin de ma toilette du soir. Elle s’affairait, je l’imaginais bien utiliser les grands moyens, allait-elle me sortir le karcher !
    
    — Voyons les dégâts.
    
    Elle décrocha les adhésifs et décolla la couche en poussant des grognements.
    
    — Allons-y.
    
    Le nettoyage fut plus doux que je ne l’en croyais capable. Évidement le langage était coloré, mais la douceur était de mise.
    
    — Bordel, il y en a plein les poils, voilà pourquoi les gosses n’en ont pas !
    
    J’avoue que le frottement des lingettes et du gant sur mon anatomie me plaisait bien, je me trouvais ridicule de le penser, mais c’était assez jouissif.
    
    Le lavage terminé elle glissa une couche propre sous mes fesses, mais avant qu’elle ne la replie le téléphone sonna.
    
    — Allô… alors… Quoi, pourquoi ?… non… attends, je viens de lui torcher le cul, je ne suis pas nounou à plein temps… ok… pas plus… salut.
    
    J’imaginais qu’il y avait un problème, et que j’allais bientôt le connaître, elle se déplaça en grommelant, oublié le changement de couche, du coup je me retrouvais une fois de plus le sexe à l’air, moi qui suis plutôt pudique, j’ai un peu tendance à m’exhiber depuis quelques heures.
    
    Elle composa un numéro.
    
    — Ouais, c’est moi, non pas de problèmes avec lui, mais elle m’a appelée, la banque demande cinq jours pour réunir la somme en liquide… je sais pas, une histoire de vérification, de ...
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