Fratrie "de Wintzt" (9)
Datte: 16/04/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
... écoute.
— Vous allez délibérer avec le Conseil pour nous octroyer un bail emphytéotique de 30 ans, renouvelable, avec un loyer le plus élevé possible, le prix en sera élaboré par nos hommes de loi pour qu’il en soit incontestable par le fisc allemand.
— Mais pourquoi Votre Altesse... Le domaine est à vous... !!!
— Notre famille a suffisamment de biens personnels et nous considérons, Marika et moi, qu’après tout ce que vous avez accompli pendant un siècle pour le conserver, il est à la Ville aussi.
— Oui, certes, vu sous cet angle.
— Le bail stipulera que tous les frais d’entretien, de modernisation, voire d’agrandissement seront entièrement à notre charge, ainsi que la réhabilitation totale de la dépendance côté ouest, qui sera octroyée aux Associations que préside Dieter et dont nous prenons en charge les subventions.
— Altesse, je ne sais que vous dire...
— Alors, agissez... Notre famille a toujours protégé notre province par le passé. Seuls les guerres et les évènements nous en ont empêchés. Alors, je veux rétablir cette complicité, cette confiance, cette entraide entre la famille Ducale et la population.
— Altesse... Vous être vraiment... Le Duc de Wintzt...
— Nous ne sommes plus en Monarchie, le titre de Duc ou d’Altesse n’a plus cours. A l’époque, il était souvent subi, mais même si notre pays est totalement républicain, les titres nobiliaires y sont toujours reconnus, sans aucun privilège d’antan.
— Je sais Votre Altesse, et nous sommes ...
... tellement heureux de votre retour parmi nous.
— Si mon titre me vient de ma naissance, il ne voulait pas dire grand-chose pour moi auparavant. C’est vous et Görlitz qui me l’avez redonné, c’est vous tous qui me l’avez offert. Même si au début j’en étais très surpris, voire même choqué, je le prends maintenant comme une marque de respect, mais surtout... surtout... comme une preuve d’affection et avec fierté. Mon titre me vient de vous tous et je veux qu’il soit utile pour vous tous.
Après son départ, et malgré les nombreux regards qui cherchaient mon approbation pendant ce dialogue, Paul m’a prise dans ses bras, m’a serrée très fort...
— C’est ce que tu voulais aussi, non ? J’ai parlé seul, mais en notre nom et je savais que ce que je disais était aussi ta volonté.
— Crois-tu ?
Dans un énorme éclat de rire, il m’a prise dans ses bras, me renversant sur la table et soulevant ma jupe, il s’est enfoncé en moi à la hussarde, me besognant comme un fou, son sexe cherchant à aller toujours plus loin, plus fort. Il m’a complètement écartelée, massacrant ma poitrine, occupant de toute sa puissance, mes deux orifices, jouissant et recommençant sans relâche. C’est à la cinquième reprise qu’il s’est enfin assagi, son torse viril collé à moi et mes mains sur son merveilleux cul ferme et poilu que nous avons repris enfin notre souffle.
C’est avec la négligence du mâle assouvi, couilles bien vidées... Ou presque... Avec lui on ne sait jamais, qu’il ma demandé de lui apporter ...