Gougnote dominatrice (2) - Histoires de Sexe

Gougnote dominatrice (2)

... toujours à l’abri des regards, mais toujours très bien placé; en l’occurrence, une main au cul avec le majeur bien positionné entre les deux fesses. Le pire c’est que j’acceptais ça de sa part, en fait je me demandais si elle avait commencé comme ça avec Marie avant d’en prendre possession. Au milieu de la première semaine de la rentrée elle m’a carrément emmené dans les toilettes handicapés. Je ne savais trop comment réagir car, en même temps, il n’était pas très désagréable de se faire enlever par une très jolie femme.

Là elle m’a fait asseoir sur le toilette et c’est mise bien face à moi puis à soulevé sa robe, oh surprise elle ne portait pas de culotte. Comme d’habitude cela sentait bon entre ses jambes; que ce soit la petite fille négligée ou le nectar de femme, ces odeurs étaient très attirantes. J’ai honte à le dire mais je commençais à devenir gourmand de son entrejambe, elle n’a pas eu besoin de me forcer. C’est de ma propre initiative, comme un grand que je suis parti faire un baiser pour commencer puis rapidement mettre ma langue. Sophie aussi commençait à être gourmande, gourmande de ma prestation buccale... Pour la première fois de ma vie pendant l’heure de ma pause du midi je broutais le minou d’une femme avant de reprendre le boulot. Moi qui suis très sensible aux odeurs; je reconnais aussi que son parfum contribuait à me faire un peu tourner la tête.

Comme la dernière fois je m’étais accroché à ses cuisses mais à l’arrière de ces dernières cette fois ...

... ci. J’avais l’impression de ressembler à une abeille qui venait butiner une fleur gorgée de pollen et qui ne voulait rien laisser pour les autres. Elle me caressait les joues et surtout les cheveux pendant que moi je lui nettoyais son intimité avec une attention inégalée. Aujourd’hui la bougresse avait sous sa robe un collant voile satiné fendu, comment vouliez-vous résister à une telle tenue, je commençais vraiment à prendre goût à Sophie; même si cette dernière se revendiquait gougnotte. Manifestement elle devait être très excitée car elle a rapidement pris son pied, j’étais vraiment fier de pouvoir partager ce privilège avec Marie que de pouvoir lui donner du plaisir. Je devinais ses seins magnifiques savamment dissimulés sous son chemisier satiné.

Elle s’est accrochée aux parois quelques instants, histoire de reprendre ses esprits; tout en sachant que pendant ce temps-là, je continuais à m’occuper d’elle avec ma langue. Une fois à nouveau alerte, elle a remis ses vêtements en place puis elle m’a laissé dans les toilettes. Je suis sorti quelques instants après elle pour ne pas attirer l’attention heureusement que ce toilette ne servait pas. En fait ce dernier était là pour répondre à des normes, il était limite à prendre la poussière et ne servait que quelquefois, lors de grandes affluences aux toilettes normals. Je n’ai plus vu Sophie durant quelques jours avant qu’elle revienne me voir en salle des profs, histoire de me tenir au courant de sa relation avec mon amie ...