1. Gougnote dominatrice (2)


    Datte: 14/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... j’en profitais pour caresser ses cuisses qui, gainées de nylon, étaient d’une douceur sans égale. Je n’avais pas un pet de graisse sous la main, que des cuisses musclées bien fermes et longilignes. À l’intersection de ces deux cuisses Bouillait le désir, manifestement elle comptait sur moi pour lui en donner.
    
    Maintenant que j’étais bien positionné sur ma chaise, elle me caressait les cheveux maintenant en douceur; pendant que moi, avec ma langue, je lui donnais du plaisir. Cela sentait vraiment très bon la femme sous cette robe toute douce, je m’étais même maintenant agrippé à ses fesses musclées pour essayer d’emmener ma langue le plus loin possible. Là je l’ai sentie commencer à prendre son pied; sa respiration a été le premier indice puis elle a penché sa tête en arrière en commençant à soupirer. Cela me faisait tout drôle et même me gênait un peu qu’elle me parle au féminin mais en même temps cela m’excitait un maximum. Là ce fut la catastrophe car elle s’est mise à resserrer ses cuisses et ma tête était entre les deux; j’avais l’impression d’être une noisette dans un casse-noisette. Heureusement que j’étais de solide constitution.
    
    Quand elle a repris ses esprits j’avais envie de l’embrasser mais elle m’a carrément envoyé chier. J’ai ravalé mon honneur en me disant que cela faisait quand même 2 fois que je lui faisais prendre son pied avec ma langue. Bien évidemment avant de me planter dans la salle des profs elle m’a laissé sa culotte encore trempé. Je peux ...
    ... vous garantir qu’entre sa culotte odorante que j’avais sur moi et celle que j’avais désormais dans la poche; je sentais plus la femme désireuse que beaucoup de collègues féminines. Je suis rentré à la maison la tête un peu dans les nuages mais surtout encore entre les jambes de Sophie. Il n’y a pas à dire elle savait y faire avec les hommes comme avec les femmes, tout ceci pour mon plus grand bonheur.
    
    Arrivé à la maison comme la veille je me suis astiqué le poireau dans ses culottes, je ne me reconnaissais plus tant j’étais excité par cette femme qui faisait ce qu’elle voulait de moi et de Marie. 12 jours durant nous nous croisâmes dans les couloirs avec juste des regards de sa part on ne peut plus provocateur. Elle a quand même réussi à plusieurs reprises à venir me tâter le sexe toujours en érection à cause des culottes portées tous les jours. Durant ces 12 jours je me suis fait traiter par Sophie de salope, de cochonne, de chienne, de Soumise. Elle avait la correction de toujours faire cela de telle façon à ce que seules nos 4 oreilles puissent entendre. Les vacances de Noël sont arrivées du coup nous nous sommes un peu perdus de vue pour une petite quinzaine de jours; plus de nouvelles de l’une plus de nouvelles de l’autre.
    
    En début d’année après les vacances nous nous sommes retrouvés pour nous souhaiter les vœux. Je suis monté présenter les miens à Marie et j’ai eu l’occasion de faire de même avec Sophie en salle des profs. Évidemment Sophie a eu un geste déplacé, ...
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