Alerte à la pollution dans la rue du Grand Chêne bleu
Datte: 14/04/2019,
Catégories:
fh,
grp,
hagé,
fagée,
frousses,
extracon,
voisins,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
échange,
Partouze / Groupe
uro,
portrait,
Humour
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... immédiatement de honte.
— Je suis vraiment désolé, je ne sais pas ce qui m’a prit.
— Je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à ça de votre part ; en plus, c’est bien la première fois que quelqu’un me propose ce genre de… disons… pratique !
Ma raideur éphémère disparut dans la minute qui suivit. Mon minuscule sexe rabougri semblait exprimer toute la misère du monde. Il provoqua l’hilarité de ma partenaire qui en profita pour s’essuyer l’entrejambe avec sa petite culotte.
Comme cet intermède nous avait bien plu, on décida de récidiver une autre fois mais dans une chambre de motel d’une grande zone commerciale. Annie devait y bosser et on voulait éviter les ragots du village. Elle était vraiment sympa Annie, me faisant même choisir la petite culotte que je voulais qu’elle porte lors de notre prochaine rencontre. Elle me suggéra aussi, de façon anodine, de me munir éventuellement d’un tube de vaseline « au cas où… ».
En regagnant ma maison, je remarquai que quelques fenêtres du nouveau lotissement étaient aussi ouvertes mais, je n’y prêtai pas d’attention particulière.
Le maire et un promoteur avaient construit, un peu en retrait de la rue, un lotissement de dix pavillons, loués à des retraités. Personne ne fut étonné que ce sombre crétin de maire, soit invité avec son épouse, dans la villa tunisienne du promoteur, à la fin des travaux… Faut pas prendre les gens que pour des demeurés, même dans un village de la France profonde !
C’est la canne de ...
... Germaine, brandie bien haut, que j’aperçus en premier après le virage de la voie de chemin de fer désaffectée. Germaine, c’était ma voisine, une femme adorable de soixante-douze printemps, veuve depuis peu et enfin libérée de son beauf de mari, dont la connerie était incommensurable. Elle était furieuse mais très drôle avec les bigoudis rose fluo qui fleurissaient ses cheveux gris.
Germaine pérorait au milieu d’un groupe d’une dizaine d’habitants de la rue. La pollution aux hydrocarbures ne s’était pas limitée à la première maison à l’entrée Est du village, celle des Lefebvre, mais elle s’était propagée dans beaucoup d’habitations, dont la mienne. Le maire n’était pas joignable et chacun avait sa petite idée sur l’origine de la pollution. Je me permis d’avancer qu’avant de diffamer tel ou tel, il fallait se montrer rigoureux. D’après moi, entreprendre un recensement des victimes me semblait un bon point de départ, puisque tout le monde n’avait pas été touché par le phénomène. Ensuite, peut-être, vérifier s’il y avait corrélation avec le raccordement au tout-à-l’égout, étant donné que toutes les habitations n’en bénéficiaient pas.
J’aurais dû m’abstenir d’intervenir car, on me désigna d’office comme coordonnateur et porte-parole des victimes de la pollution. Je fus aidé par un retraité du lotissement qui me proposa très vite ses services. On se partagea le travail, obtenant facilement les numéros d’urgence pour contacter les services spécialisés de la sous-préfecture et de la ...