Les amours mortes (1)
Datte: 13/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... plate. Pas de petite amie, et de surcroit il n’avait jamais conclu les rares flirts qu’ils avaient eus. Aucune fille de son âge n’avait souhaité poursuivre plus loin que les baisers, sauf une fois où il avait pu caresser une poitrine.
Et encore celle-ci se trouvait elle encore enfermée dans un soutif qui lui aussi se cachait sous un chemisier. Si sa queue avait souvent durci, jamais une patte de fille et encore moins de femme ne l’avait seulement frôlée. Evan cherchait un dérivatif à ces pensées plutôt étranges. Pour ce faire il ouvrit son ordinateur et tenta de se plonger dans un cours à revoir. Mais pas moyen de calmer cette faim qui lui serrait les tripes. Alors, comme sans doute des ribambelles de garçons avant lui, il fit ce qu’il fallait pour désamorcer ce désir idiot.
De la fermeture éclair ouverte de son jean, un sexe normal fut extirpé de la braguette béante. Débutait alors une branlette qui à défaut d’être agréable s’avérait libératoire. La main serrée allait et venait dans un mouvement tantôt rapide, tantôt ralenti pour laisser le plaisir monter doucement en lui. Le souffle plus saccadé du garçon, rythmait les mouvements d’un poignet qui avait déjà un peu de pratique dans cette opération de séduction entre sa paume et sa bite. Il sentait que la sève montait déjà en lui, qu’il allait éjaculer avec un soupir de satisfaction quand il pressentit que quelque chose clochait.
Pour une raison obscure, son corps sur sa chaise fit un quart de tour. Et horreur… ...
... dans l’embrasure de la porte, un visage encadré de cheveux bruns, regard figé sur la main qui n’avait pas arrêté son geste, un visage familier le scrutait. Elle était là ! Enora qui sans rien montrer de ce qu’elle pensait suivait la scène. Pas de sourire, pas de grimace, juste deux yeux posés sur le sexe qui au fil de la montée des doigts dévoilait un gland violacé par l’envie. Le choc de cette apparition n’interrompit en rien l’ascension inéluctable de la semence qui soudain jaillit.
Une trainée partait en direction de la porte où se trouvait sa mère. Elle ne parlait pas se contentant de regarder où la coulée s’écrasait. Mais son fils lui, était du coup rouge comme une pivoine.
— Le repas est prêt. Tu viendras manger ? Enfin… après… quand tu auras nettoyé…
Sidéré, le garçon avait le sifflet coupé. Merde, mauvaise pioche. Et puis pourquoi était-elle entrée dans sa chambre sans s’annoncer ? Pris par sa masturbation forcenée, il n’avait rien entendu. Il se sentait comme un con, coupable d’il ne savait quel méfait. À l’aide d’un kleenex, il nettoya en premier lieu la poupée pleureuse puis il astiqua aussi le sol. Toutes traces ayant disparu, il fila, vers la cuisine. Au préalable, il s’engouffra dans la salle de bain pour se laver les paluches. Dans ce local qu’elle avait utilisé, flottait un effluve agréable. Le parfum d’Enora était présent partout.
— oooOOooo —
À table, le silence régnait en maitre. Ni lui ni elle ne voulant entamer un dialogue qui risquait d’être ...