Banquière perverse (17)
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... cet endroit isolé du brouhaha de cette ville si trépidante et si bruyante. Nous regardons sur la rive les promeneurs et les amoureux qui se bécotent sur un banc public, ils semblent heureux comme nous le sommes. Leurs baisers communicatifs nous entrainent dans une joute linguale, si tendre, si douce et si bonne ; nos langues se cherchent et jouent ensemble. En réalité, elles ne jouent pas ; elles dansent pour nous, sans témoins. Elle pose ses mains sur mes fesses, je lui caresse son dos nu dans cette robe courte où comme à son habitude elle n’a rien mis dessous ; tout comme moi.
Les clients sont tous attablés au restaurant du navire, nous avons réservé pour le dernier service, et nous avons encore une heure devant nous. Un seul regard et nous sommes d’accord, nous allons le faire ici, maintenant ; mais nous risquons de nous faire piquer. Il faut trouver un endroit discret, nous parcourons le pont et il est là. Juste sous l’escalier qui monte au pont supérieur ; nous serons à l’abri des regards, ou presque.
Elle me plaque contre la paroi du bateau et se colle à moi, son ventre fait rouler mon sexe qui gonfle dans mon short ; elle passe sa main dans ma ceinture et attrape mon vit et folie. Je lui empoigne les fesses et les masse, puis je remonte dans son dos, atteins sa nuque et attire sa bouche contre la mienne. Mais cette petite malicieuse joue avec mes bourses et caresse ma bite qui grossit encore et transpire d’envie.
— Chéri, j’ai envie de toi ; prends-moi vite ! ...
... chuchote-t-elle.
Elle n’a pas fini sa phrase que j’ai la queue à l’air, et elle, suspendue à mon cou s’est enfilée sur moi. Elle ferme les yeux, je sens son antre se contracter, son ventre vibrer, et son souffle me dire un « Oh oui…mon chéri ; je t’aime mon amour… »
Tout à coup, j’ouvre les yeux et je découvre entre mes mains l’appareil photo et une image de la tour Eiffel en pied ! Mon sexe suinte sur ma cuisse, c’est intenable, je ne peux pas rester ainsi ! J’empoigne mon phallus qui réclame ma chérie, alors je le branle avec une force indescriptible ; en une minute, un jet puissant et saccadé de sperme s’écrase sur le sol. Je viens de réaliser que je n’ai plus de question à me poser sur mon choix ; ce sera Gladice ! Enfin, si elle le veut bien.
Je suis heureux, je vais l’attendre avec impatience, car c’est demain ! Je sais que la journée va être longue, d’autant que je ne sais pas à quelle heure elle arrive. J’ouvre le frigo, il reste du champagne et des trucs de l’apéro d’hier ; alors je trinque à sa santé, à la mienne et à notre amour. Tout en sirotant mon champagne, j’admire mes photos, il y en a de bien, de très bien et d’autres moins bonnes ; mais il me faudrait un ordinateur pour les trier et les retoucher. C’est décidé, je vais demander à Jelila si j’ai de l’argent d’avance pour pouvoir m’en acheter une ; je ne suis pas profiteur et ne veux pas qu’elle me l’offre.
Il est plus de minuit et je suis crevé, alors je vais me coucher.
— ooOoo —
— Alors ...