1. Banquière perverse (17)


    Datte: 12/04/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... vienne ?
    
    — …
    
    — J’arrive !
    
    Elle raccroche.
    
    — Bon je dois partir, il y a eu une tentative de cambriolage à la banque ; désolé mais je pense que tu vas passer la soirée tout seul.
    
    — Bon, et bien je t’attendrais dans ton lit ?
    
    — Parfait et la bite en l’air !
    
    Là-dessus elle est partie, je ne suis pas déçu ; je suis content qu’elle ne soit pas là. Au moins elle me foutra la paix avec ces trucs dégueu. J’espère que Gladice arrivera avant elle, et que nous pourrons parler et faire l’amour ; ce qui me fera oublier ses idées perverses. En attendant j’ai envie d’aller faire un peu de ménage dans la chambre de Gladice, mais je m’abstiens car elle pourrait peut-être le prendra-t-elle mal ; alors j’attends tout en triant mes photos sur l’ordinateur. Il est déjà 22 heures et Gladice n’est toujours pas là, sans doute un retard de train, alors je m’installe sur le canapé, et je pense à elle, mais ma pensée se transforme rapidement en un rêve délicieux.
    
    Elle est là, debout devant moi, le soleil un peu bas lui fait une tête de hérisson ; sa chevelure est comme ébouriffée. Le soleil me montre sa silhouette fine et joliment dessinée, ses hanches toujours aussi gracieuses m’invitent à descendre et à découvrir là ! Juste ente ses longues jambes. Juste au centre cette petite bosse, son bouton, si doux au toucher, si bon à gouter, si plaisant à lécher et à sucer quand il se retrouve inondé de sa cyprine.
    
    Elle se courbe en avant, se penche, s’agenouille entre mes cuisses ; ...
    ... ses mains si douces et si frêles me caressent doucement les cuisses puis montent, encore, et encore un peu. Elles s’enroulent autour de mes bourses et de mon sexe qu’elle l’embouche doucement, tendrement. Elle le cajole, le caresse dans tous les sens, de haut en bas, en rond ; sa bouche humide vient de prendre mon gland ! Elle l’aspire, je transpire ; elle respire, je soupire ; elle souffle, je geins ; elle va, je viens…non pas tout de suite. Attends un peu, encore un peu, ne vas pas trop vite c’est si bon ! Mais non, elle accélère un peu, et puis plus vite et encore plus vite. Je viens, c’est bon, c’est fort et ça m’inonde le torse et même le menton.
    
    J’ouvre les yeux et fais un bond, autour de moi il n’y a personne ; elle n’est pas là ! Mais qui a fait ça ? C’est moi et ma main ; j’en ai presque honte, vite je vais me doucher. Mais mon téléphone sonne, j’accours ; c’est Madame ! Je décroche :
    
    — Allo ?
    
    — C’est moi, je rentrerai tard dans la nuit, ne t’occupe pas de moi ; va te coucher et dors…
    
    — Mais…
    
    Elle a raccroché alors je vais attendre Gladice. La soirée est longue, la télé ne m’intéresse pas, je n’ai envie de rien. Dans la maison tout est calme, alors je décide de sortir un peu. Je m’habille et me rends dans un bar, je commande une bière et attends en la sirotant. Un homme s’approche, me sourit et me dit :
    
    — Vous attendez, quelqu’un ?
    
    — Oui…
    
    — Elle ne va pas tarder, je pense…
    
    — Merci…
    
    « -Pauvre con, je ne sais pas à quelle heure elle sera ...
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