Odile se raconte
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
extracon,
boitenuit,
danser,
contrainte,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
historique,
bourge,
hff,
Partouze / Groupe
Auteur: Edmond Louis, Source: Revebebe
... des pieds. Il semble faire des pompes. Je les regarde. Le contraste des couleurs de peau est troublant, de les voir faire l’amour comme ça, sous mes yeux, me donne des démangeaisons partout. Je ressens un émoi ; je comprends les sentiments de Louis, quand il me regarde…
Je décide de me dévêtir. Une fois nue, j’approche de mon amie pour lui caresser ses seins mais elle ne se rend plus compte, elle nage en plein bonheur. À chaque coup de pilon elle émet une plainte, les yeux dans le vague. Idriis lui ne faiblit pas. Imperturbable, il continue à la besogner, sûr de sa victoire prochaine. Connaissant son amie, il sait quand lui porter l’estocade qui l’emmènera sur le chemin de la jouissance. Il continue mais en appuyant plus profondément ses coups. Le corps de Sandra est ballotté, sa tête va de gauche à droite, ses bras se tendent pour saisir un appui, mais ne trouvant rien, battent dans le vide. Tout à coup elle se cabre, le corps pris de tremblements convulsifs avant de retomber sur le canapé, le regardant amoureusement.
— Il n’y a pas à dire, avec toi c’est toujours un grand moment… Tu termines avec Odile.
Idriis se retire de Sandra. Il se met sur moi, m’écarte en grand avec ses genoux. Il saisit son membre trempé de mouille et le place à l’entrée de ma grotte. Il s’engage difficilement dans l’étroit conduit. Par de petits coups de reins il progresse en moi, me laissant le temps de m’habituer. Idriis est au fond de moi, je suis sans réaction, remplie comme jamais. ...
... Il entame ses va-et-vient, à chaque coup je me sens mieux. J’essaie de l’aspirer, mais je n’arrive pas à le masser, c’est trop gros. J’ai envie de lui, je lance mon ventre contre le sien. Idriis me regarde, comprenant qu’il peut maintenant me faire l’amour. Il le fait de façon très douce pour commencer, mais je le veux plus fort et plus profond. Sa queue vient buter contre mon utérus, il me pilonne en cadence, toujours soucieux du plaisir qu’il donne à sa partenaire, comprenant son désir.
Au début, j’ai eu l’impression d’être ouverte en deux, mais très vite le plaisir qu’il me procure me fait oublier la douleur de l’intrusion. Maintenant c’est moi qui désire être défoncée par cette queue. J’en redemande constamment, jamais je n’ai connu le plaisir d’être possédée de cette manière-là. À mes mouvements désordonnés, il sait que le moment est proche pour moi. Dans un murmure, il me demande si je désire qu’il se déverse en moi. Je le supplie de venir. De longs jets brûlants sont projetés au fond de ma matrice, je me pâme de bonheur tout le temps qu’il se déverse en moi.
Une fois le calme revenu, j’enveloppe mes amis d’un regard langoureux. Je me lève doucement. Posant mes yeux sur Idriis, je vois son membre raide battre entre ses jambes. Il n’est jamais rassasié. Sandra se lève, et nous propose une pause pour nous permettre de dîner. Sa proposition est bien accueillie, et nous dînons avec appétit.
Une fois terminé, Idriis demande à déplier le grand canapé. Il fait de la ...