1. AU BORD DU LAC 1/8


    Datte: 25/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... dénégation.
    
    « Qui viendrait ici de son plein gré ? « demanda t’il
    
    « Tu t’appelles comment ? »
    
    « Eric, et toi ? »
    
    « Steve, je vais t’expliquer pourquoi je suis là. »
    
    Un quart d’heure plus tard, nous étions, lavés rasés, et étions devenus copains.
    
    Sur mon insistance, il accepta de m’accompagner, pour un tour en voilier. Le vent était léger, et le soleil encore pas très chaud. Une fois à bord, Eric trouva la balade agréable, mais déplora t’il : « ça manque de filles, et c’est pas ici, seuls, au milieu de la flotte, qu’on va en trouver. »
    
    Je lui expliquai alors que nous allions nous rapprocher d’une plage beaucoup plus grande , et plus fréquentée que celle du camping, avant d’y aborder. L’idée était de repérer des filles et de leur proposer un tour.
    
    « On va monter à combien dans ton bateau ? »
    
    « On peut aller à Quatre, et même cinq ou six. Avec le vent d’aujourd’hui, on va se trainer, mais l’idée, n’est pas d’aller vite, n’est-ce pas ? »
    
    « Oh, moi, du moment qu’il y a des filles, je suis ok . »
    
    Ainsi fut il fait. Mais la réalité transforme nos plans les plus habiles. Je lis souvent des récits, où il suffit de croiser le regard d’une fille, ou de lui sourire pour qu’elle vous tombe dans les bras. Dans la vraie vie, ça marche une fois sur dix. Nous étions à présent sur la plage ou plusieurs groupes de jeunes étaient déjà installés, et nous allions de l’un à l’autre pour proposer de naviguer avec nous, mais nous ramions. Tout d’abord, il fallait ...
    ... éviter d’emmener des filles, et leurs copains, et ensuite, il fallait trouver des filles d’accord pour venir, qui n’étaient pas chargées de garder un petit frère, ou une sœur, n’ayant pas envie de nous charger avec des moutards. Après quelques tentatives infructueuses, un groupe de trois copines Hollandaises, accepta de venir avec nous.
    
    Trois blondes, à la peau délicieusement dorée, qui devaient avoir dans les 18 ans, embarquèrent donc sur le dériveur. Tandis que je manoeuvrais le bateau avec Eric, elles s’installèrent, une sur chaque plat-bord, et la troisième alla bientôt s’allonger à l’avant au dessus de l’étrave. Cette dernière, sans doute plus délurée que les autres, se débarrassa de son soutien gorge, avant de se couvrir de crème bronzante. Sautant sur l’occasion, nous insistames auprès des deux autres filles, en leur montrant leur amie, et après quelques hésitations, elles consentirent à enlever le haut de leur maillot. A plat-ventre, elles laissèrent Eric, les enduire d’huile solaire, mais refusèrent quand il leur proposa de faire l’autre côté. Je dirigeai notre embarcation vers une crique que je connaissais bien. Je laissais filer une ancre que je bloquais à un taquet, et donnais le signal de la baignade. Nos plongeons éclaboussèrent les filles qui poussèrent les hauts cris. Puis l’une d’entre elle se jeta à l’eau et nagea vers moi. Je l’accueillis dans mes bras. Je sentais les pointes de ses seins dures, érigées par le froid de l’eau, se frotter contre mon torse. Je ...
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