1. Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (2)


    Datte: 11/04/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... Crier et le chien allait peut être lui sauter à la gorge, le frapper et il la mordrait peut être au pubis... cette idée la terrifia encore plus.
    
    Se lever dans sa position était impossible, le chien aurait tôt fait de la courser et la mettre à plat. Car le bâtard pesait au bas mot un bon 45 kilos à vue de nez, contre 52 pour la pauvre Marie-C !
    
    Ainsi Marie-C resta de marbre, le plus immobile possible, pendant que l’animal, la langue sur son sexe continuait de la lécher...elle le regardait faire. Mais d’abord dégoûtée, elle fut obligée d’admettre que l’expérience n’était pas désagréable du tout, au contraire. Ce cunnilingus bestial, une première pour elle, puisqu’elle n’avait jamais autorisé Jean-Michel à le lui faire, était plus que délicieux. Une fois la répulsion vaincue, elle fut absorbée dans un océan de délices. Il semblait que toutes ses frustrations de femme mondaine, et ses fantasmes, refaisaient surface. Elle ferma les yeux et imagina Camille à la place du chien comme dans son rêve. Elle ne tarda pas à jouir et sentait ses lèvres et son clitoris gonfler de désir, de même que sa cyprine, qui n’arrêtait pas de s’écouler sur ses cuisses et ses fesses.
    
    Profitant de son plaisir, elle encouragea le chien à aller plus profond en lui caressant la tête, et la lui poussant chaque fois un peu plus dans son antre baveuse, elle se laissait à divaguer:
    
    “ Oh mon Dieu, bon chien...fais moi du bien! Ouiii ! Comme ça! Lèche moi , plus profond . Ta langue dans ma chatte… ...
    ... hummmm, ton museau au souffle chaud sur mes lèvres et mon clito...ouiii c’est trop booonn ! “
    
    Nouvel orgasme… à un moment Marie-c se remémora la vision qu’elle avait eu sur l’écran de l’ordi de son frère. Discrètement, elle l’avait espionné, alors qu’il regardait une vidéo zoophile, dans laquelle une femme se faisait prendre en levrette par un berger allemand, et semblait y prendre beaucoup de plaisir . Cela l’avait à la fois révulsé et beaucoup excité.
    
    Elle se demanda alors... comment ce serait si ? L’idée qui s’était mise à germer dans son cerveau envahi de drogues du plaisir, devint un commandement impérieux:
    
    “ Je veux qu’il me baise  ! Oh oui !”
    
    Elle replia alors ses cuisses sur son ventre, les écartant au maximum, présentant son sexe largement béant aux appétits du canidé. Celui ci comprit, et avançant son bassin se positionna à l’entrée du vagin de Marie-C. Celle-ci distingua la verge de l’animal, rouge au gland conique, il devait bien faire dans les 19 centimètres.
    
    “ Oh mon Dieu que tu es gros, qu’est ce que tu vas me mettre ! “
    
    Marie-C, en proie à une folie lubrique ne se contrôlait plus, la jeune femme mondaine bien élevée avait disparu, il ne restait qu’une catin en chaleur qui ne rêvait que de coït bestial. Étendant le bras, elle saisit le mandrin de l’animal, le masturba un peu et le dirigea vers son antre. Celui-ci la posséda d’une puissante poussée de son bassin, et recouvrit intégralement la jeune femme. Marie-C poussa la hardiesse jusqu’à ...