1. Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (2)


    Datte: 11/04/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... contre son pubis imberbe, et ramenant une touffe de mousse elle se frotta le sexe avec, dans un état d’endormissement progressif.
    
    La nuit, elle fit un cauchemar, durant lequel elle se remémora un incident stupide, avec la domestique de ses parents, cette fameuse Céline, dont elle sentait qu’elle était la clé de ce qui lui arrivait.
    
    Durant un repas chez ses parents, en compagnie de son mari, Céline avait bien malencontreusement renversé le saucier sur sa robe de soirée, la souillant jusqu’au soutien gorge et au string en soie.
    
    Elle éclata alors dans un rage folle, insultant la jeune Céline. La giflant et la secouant comme un prunier. Ses mains arrachèrent la petite robe de soubrette très courte, que portait la jeune femme. Cette dernière en larmes, apparut nue devant l’assistance. Elle ne portait ni slip, ni soutien-gorge, seulement un porte-jarretelles noir et des bas de la même couleur, ses bras protégeant ses appâts.
    
    Marie-C, médusée s’emporta encore plus:
    
    “ Regardez cette petite trainée, cette catin qui se promène nue en faisant son service, mais quelle honte !
    
    -Peux tu m’expliquer cela , Céline? Gronda la maîtresse de maison et mère de Marie-C.
    
    -Mais c’est monsieur qui a insisté, ordonné pour que je…
    
    -Silence putain, comment peux tu accuser mon père de tes propres turpitudes “, rétorqua Marie-C, tout en la giflant très violemment .
    
    La pauvre Céline tomba sur le sol, à moitié assommée, son sexe et ses seins à la vue de tout le monde… Par la ...
    ... suite, s’étant enquise du devenir de la jeune domestique, car Marie-C regrettait son geste violent, son père, un énigmatique sourire aux lèvres, lui dit qu’elle avait "payé pour sa faute" et qu’elle était affectée à un autre poste, plus dans ses cordes...
    
    Dans son rêve, Céline avait les traits de Camille et Marie-C la relevait, lui caressait les seins et son sexe, elle en éprouvait beaucoup de plaisir. Puis les deux jeunes femmes s’embrassaient langoureusement. Marie-C l’amenait dans sa chambre, se laissait déshabiller par Camille, qui d’une poussée de la main, la propulsait nue, sur le lit, les cuisses écartées. Alors Camille venait caresser et masturber la jeune femme, pour finir par un cunnilingus très profond et torride.
    
    Marie-C sentait la langue aller et venir sur ses grande lèvres, ses petites, son clitoris. Elle jouissait à en perdre haleine, son sexe enduit de cyprine lui donnait un plaisir encore inconcevable pour elle, quelques heures auparavant. Soudain la langue un peu rugueuse s’introduisit dans la grotte chaude, lubrifiée et accueillante, Marie-C eut un spasme vaginal très puissant et poussa un “Oh mon dieu que c’est bon !” et se réveilla. Ce qu’elle vit la sidéra.
    
    Un chien, bâtard de berger allemand, était couché entre ses cuisses largement écartées, et lui léchait le sexe avec enthousiasme. Quand Marie-C se réveilla, il eut un temps d’arrêt mais reprit bientôt son apostolat canin. Marie-C sidérée, apeurée et révulsée en même temps, ne savait que faire. ...