1. Exhibitionniste. (1)


    Datte: 10/04/2019, Catégories: Divers, Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... un nouveau pas l’été de mes vingt et un ans. Il faisait tellement chaud que pour me sentir plus à l’aise, je n’ai même plus rien porté ni string ni culotte sous mes jupes. C’était agréable de sentir le vent s’engouffrer sous ma jupe, frôler mes cuisses et ma chatte nue mais pas encore rasée.
    
    Lorsque j’allais à la piscine, je portais des maillots les plus réduits possible, mais je me faisais souvent rappeler à l’ordre et je devais revêtir des maillots plus fermés. Je m’arrangeais assez fréquemment pour qu’un sein soit dénudé lorsque je sortais du bassin en faisant glisser par inadvertance une des bretelles. Je le cachais bien vite, mais pas assez cependant pour que des garçons ou des hommes le remarquent.
    
    En fin de première année d’université, nous sommes partis à deux couples de copains pour deux semaines au bord de l’océan atlantique à quelques kilomètres du bassin d’Arcachon. Lorsque j’ai vu que la plupart des femmes étaient sur la plage avec les seins nus, j’en ai fait autant. Je montrais avec fierté deux beaux seins bien ronds, haut perchés sur mon buste avec des aréoles brun foncé et des tétons proéminents rose pâle. Depuis mon adolescence, j’ai toujours pris grand soin de mes seins en les enduisant de gel raffermissant avant de me coucher. Ils étaient bien fermes et balançaient à peine lorsque je marchais.
    
    C’est au cours de ce séjour que j’ai découvert le nudisme. Nous parcourions la plage après nous être baignés lorsque nous sommes tombés sur une plage ...
    ... naturiste. J’ai compris tout de suite que ma nature exhibitionniste allait prendre le dessus : j’ai immédiatement enlevé le bikini que je portais ce jour-là. Agnès, Freddy et Jérémie, mes trois amis en ont fait autant avec leurs maillots et nous nous sommes mêlés aux autres nudistes. J’ai aussi compris que les poils du pubis étaient disgracieux.
    
    De retour au camping, j’ai demandé à Jérémie, mon compagnon du moment, de me prêter son nécessaire à rasage et en prenant ma douche, je me suis débarrassée de tous ces poils fauves qui couvraient mon bas-ventre. A mon retour au bungalow, il m’a trouvée très belle ainsi et aussitôt,il est venu embrasser ma chatte nue. Il est inutile de vous dire ce qui a suivi.
    
    De retour à Paris et pour gagner un peu d’argent, j’ai fait le tour de quelques peep-shows afin de chercher un engagement de quelques heures par semaine. Pour le plaisir des hommes, je dansais sur la petite scène entourée des cabines. Je ne voyais jamais à qui j’avais à faire, mais mon excitation était à son comble lorsque j’entendais les pièces tomber dans le monnayeur et voyais les rideaux se lever devant les miroirs sans tain. C’était le signe que j’étais observée.
    
    Je ne restais jamais bien longtemps dans le même établissement. Le bouche-à-oreille dans ce milieu avait fonctionné et j’étais très demandée par les tenanciers. J’ai même été embauchée dans un sex-shop où fonctionnait un peep-show. Là, pour peu qu’un voyeur glisse un billet ou deux de 10 euros dans une fente, il ...
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