Exhibitionniste. (1)
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
Depuis mon adolescence, j’ai toujours attiré le regard des hommes. Assez précoce, j’avais déjà des formes plutôt avantageuses pour mon âge. Grande fille à la peau laiteuse des rousses, j’avais une longue chevelure auburn, des yeux verts ourlés de longs cils bruns et le visage constellé d’éphélides. A quelques centimètres près, j’avais déjà atteint ma taille d’adulte.
Un peu plus tard, lorsque ma mère est allée acheter avec moi des soutiens-gorge, je faisais déjà du 85. B.
Dès que j’ai commencé à baiser avec des garçons de mon lycée, mes hanches se sont élargies et ma taille s’est amincie. Heureusement, j’étais très proche de ma mère et aussi très complice. Grâce à elle, j’étais avertie de tout ce qui touche au sexe et, dès que le médecin a considéré que je pouvais prendre la pilule contraceptive, elle a veillé à ce que je la prenne régulièrement en me disant :Ludivine, n’oublie jamais qu’un enfant non désiré peut très vite devenir un boulet qu’on traîne longtemps ! Fais donc attention !
Un jour que ma mère reprenait son refrain, je lui ai répondu :Ne t’inquiète pas ! En plus de la pilule, j’ai demandé au garçon qui m’a dépucelée il y un mois de mettre une capote...
Mère célibataire, elle avait souhaité faire et élever un enfant toute seule : MOI ! J’ignorais qui était mon père et je ne me suis jamais souciée de le savoir. C’est aussi grâce à elle et à sa situation professionnelle que j’ai pu avoir de la lingerie belle et agréable à porter. J’avais toute une ...
... collection de petits soutiens-gorge et de culottes assorties et des vêtements seyants qui mettaient ma silhouette en valeur. Les hommes, qui parfois auraient pu être mon père, se retournaient volontiers sur mon passage et certains amants de ma mère auraient bien voulu m’inscrire aussi à leur tableau de chasse ! Mes copains ne se privaient pas de me flatter en disant que j’étais «la fille la plus canon du lycée» espérant ainsi obtenir mes faveurs.
Plus tard, lorsque je poursuivais sérieusement des études supérieures, j’ai pris l’habitude de porter des jeans très moulants qui étaient comme une seconde peau avec des bodys près du corps. Lorsqu’ils n’étaient pas outrageusement décolletés, je les portais parfois sans soutien-gorge. Ainsi, on distinguait sous le tissu les aréoles et leurs pointes toujours érigées. Lorsque je portais des jupes, bien que ce ne soit plus très à la mode, elles arrivaient à mi-cuisse et lorsque volontairement ou non, elles volaient un peu, on apercevait facilement les jarretelles qui maintenaient mes bas. Lorsque je portais une jupe, j’étais toujours chaussée d’escarpins ou de bottines avec des talons hauts qui me faisaient une démarche chaloupée et cambraient ma taille. Mesurant 1,75 m, avec de tels talons, je dépassais presque tous mes condisciples d’une tête. On me voyait arriver de loin.
C’est aussi à cette période que j’ai commencé à porter des strings de plus en plus petits, voire même ne rien porter lorsque j’étais en pantalon. Puis j’ai franchi ...