Autour de la piscine
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
fhh,
vacances,
piscine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... offert dans ton sommeil, je gage qu’ils étaient l’un comme l’autre prêts à recommencer… Tu es si belle et si sensuelle qu’aucun homme ne pourrait te résister.
— J’aurais aimé leur dire… En réalité, je ne sais pas trop ce que je leur aurais dit. Il est difficile de parler à celui ou ceux qu’on a connus lors d’une telle parenthèse de notre vie de couple. Aucun commentaire ne peut traduire ce que j’ai ressenti.
— Parenthèse qui t’a comblée ?
— Plus que tu ne peux imaginer. C’est pour la plupart de femmes un fantasme inavouable que, cependant, elles aimeraient vivre au moins une fois dans leur existence. Celles qui auraient l’audace ou le courage d’en parler à leur conjoint se rendraient compte que le chemin entre l’envie et sa réalisation est beaucoup plus court qu’elles ne le supposent.
— Je le crois moi aussi. Il ne faut pas avoir peur de nous-mêmes et de notre liberté ; c’est pourquoi j’ai fini par admettre et accepter ce que tu viens de vivre.
— Est-ce qu’ils t’ont demandé si nous avions des chances de nous revoir ?
— Oui, et je leur ai expliqué que le contexte de notre rencontre n’impliquait pas automatiquement une suite. Charles m’a semblé déçu, mais Clément m’a affirmé qu’il le comprenait très bien. Et toi, qu’en penses-tu ?
— Ce qui compte, c’est toi et moi. Je suis consciente que je te dois une compensation, que je ...
... t’accorderai sans problème et même avec beaucoup d’envie. Je t’aime infiniment et au-delà de ce que tu imagines, pour être sûre que tes plaisirs seront aussi les miens.
— Pas une, mais deux compensations… ou plus !
— Maintenant que l’ambiance est tombée, comment réagis-tu… franchement ?
— Quand j’ai compris ce qui allait se passer entre Charles et toi, je me suis demandé quelle allait être effectivement ma réaction, en dépit de ce que nous nous étions dit juste avant. La venue-surprise de Clément a réglé ça. La jalousie n’avait plus lieu d’être. Il s’est agi de tout autre chose. J’ai été subjugué par ta sensualité ; et ce soir, il n’y a eu que toi ! Et au risque de te paraître pervers, j’avoue que jamais je ne t’ai désirée autant. En fait, tu ne me dois rien.
— Si, j’y tiens ; mais je ne sais pas trop comment, ni quand, ni dans quelles circonstances. Je ferai comme tu m’as conseillé : ne rien précipiter en laissant naturellement aller le cours des choses. On en reparlera, mais avant cela je pense qu’après ce qui s’est passé hier soir, plus rien ne peut t’empêcher de te confier à moi. Je n’imagine pas un instant que tu aies pu résister à certaines tentations. Pendant tes longs séjours en Afrique, je me doute que tu n’as pas mené une vie monacale ; je sais que je n’ai pas épousé un moine. J’aurais déjà divorcé…
(à suivre)