L'assouvissement du désir
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
fh,
couple,
hotel,
voyage,
voiture,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Salvatore, Source: Revebebe
... Wilfrid ira garer votre voiture au parking…
Faisant demi-tour, Raymonde se dirigea vers l’entrée de l’hôtel, suivie de Guillaume, de Nicole et enfin de José, le serviteur de type espagnol qui portait les bagages des nouveaux arrivants. L’accès au bâtiment principal se faisait par une épaisse porte en chêne, munie de larges ferrures, et au-dessus de laquelle se détachait dans la pierre polie par le temps un blason représentant un chevalier au large écu. Le groupe traversa un hall immense carrelé de marbre blanc, avant d’atteindre un large escalier, en marbre blanc également, muni d’une rampe en bois poli, fixée au sol par des barreaux de fer artistiquement travaillés.
— Excusez-nous pour l’escalade, prévint Raymonde, mais nous n’avons pas voulu faire installer d’ascenseur pour ne pas détruire le cachet du bâtiment.
L’un suivant l’autre, le groupe entama l’ascension devant les mener à l’étage. Placé comme il l’était, deux marches derrière la rondelette patronne de l’hôtel, Guillaume pouvait contempler à loisir la croupe charnue qui, d’une manière terriblement sensuelle, ondulait à quelques centimètres de son regard. La jupe étroite que portait la maîtresse des lieux se plaquait si étroitement à ses fesses dodues que Guillaume éprouva un étrange émoi en découvrant, en relief, les contours du slip féminin. Le désir qui n’avait cessé de l’habiter se fit soudainement plus impérieux, et une formidable érection prit naissance dans le secret de son slip.
Cependant, en ...
... queue de file, un scénario similaire se déroulait. José, qui portait les valises des nouveaux venus, suivait Nicole de quelques pas. Et comme Guillaume quelques mètres plus en avant, il ne pouvait s’empêcher de fixer d’un œil concupiscent le doux balancement des fesses rondes et musclées de la cliente qui gravissait souplement les marches devant lui. La fine jupe moulait avec une telle précision la croupe ferme de la jeune femme qui le précédait que le domestique suivait d’un œil alléché ce petit derrière qui ondulait agréablement devant ses yeux. Et c’est ainsi que le petit groupe, en file indienne, rejoignit la chambre réservée aux nouveaux arrivants, chacun des deux hommes composant cette colonne se polarisant sur la croupe de la femme le précédant.
José déposa les valises au pied de l’immense lit, avant de se retirer discrètement dans le couloir, attendant que sa patronne fasse la chambre à ses nouveaux clients. Celle-ci était particulièrement vaste et largement ensoleillée par une porte-fenêtre donnant sur un petit balcon fleuri. Au centre de la pièce se trouvait une table ronde en marqueterie, sur laquelle trônait un énorme vase rempli de glaïeuls rouges, reposant sur un napperon finement brodé. Autour de cette table deux fauteuils de tissu aux accoudoirs sculptés mettaient une touche de romantisme. Face au lit, contre le mur, une commode Louis XV en merisier, aux tiroirs délicatement ouvragés était surmontée d’un miroir à l’encadrement en bois doré. Après avoir souhaité ...