1. L'assouvissement du désir


    Datte: 09/04/2019, Catégories: fh, couple, hotel, voyage, voiture, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, pénétratio, fsodo, Auteur: Salvatore, Source: Revebebe

    Jetant un coup d’œil agacé dans le rétroviseur, Guillaume découvrit, pratiquement collé à l’arrière de la 407, un camion de travaux publics. Le chauffeur du véhicule, devant certainement effectuer une quelconque besogne sur la chaussée, attendait qu’ils libèrent la place pour y garer son camion.
    
    — Il ne peut pas aller se garer ailleurs, fulmina Guillaume comprenant que ses projets érotiques tombaient à l’eau.
    — Mon pauvre chéri, tenta de plaisanter Nicole, aussi déçue que son époux… Il va te falloir attendre que l’on soit arrivé à l’hôtel pour que je puisse calmer ce gros désir, continua-t-elle en refermant sa main autour de la protubérance qui déformait la braguette de son mari.
    
    De fort méchante humeur, Guillaume lança la 407 sur la nationale, pestant contre le malheureux employé qui avait, sans s’en douter, interrompu un intermède qui s’annonçait des plus sensuel. Jurant intérieurement, il songea à demander à son épouse de le branler pendant qu’il conduisait, comme cela leur était quelquefois arrivé du temps de leur lune de miel. À cette époque, Nicole était même allée jusqu’à le sucer pendant qu’ils roulaient sur des routes tranquilles. Mais la peur du gendarme en embuscade au détour d’un virage lui fit rejeter cette folle initiative.
    
    L’attention qu’il devait porter à la conduite de la 407 sur cette route sinueuse calma peu à peu son désir et à l’intérieur de son slip, et son sexe reprit lentement un volume normal.
    
    Après encore une bonne heure de route, ils ...
    ... arrivèrent enfin au village où devait se situer l’hôtel qu’ils cherchaient. Ils tournèrent quelque temps parmi les ruelles sans indications, passant à plusieurs reprises devant les mêmes monuments. Devant l’échec de leurs recherches, Guillaume décida de demander sa route à la première personne qu’ils croiseraient. Apercevant un individu qui se déplaçait sur le trottoir de droite quelques mètres devant eux, il décida de l’interpeller pour lui demander son itinéraire.
    
    Albert, sa journée terminée s’en retournait à la ferme familiale. Unique garçon d’une famille de cinq enfants, il était, ses sœurs plus âgées s’étant mariées et ayant été vivre avec leurs époux, seul à vivre et à diriger la ferme en compagnie de sa mère, veuve depuis cinq ans. À dix-sept ans, le jeune homme avait trouvé un emploi de quelques heures comme employé municipal ; ce qui lui permettait de subvenir aux besoins de la famille, la ferme n’étant pas d’un apport suffisant depuis le décès de son père. Sa mère, âgée de cinquante ans se contentait d’élever des volailles et quelques chèvres, dont elle tirait des fromages qu’elle vendait aux différents restaurants de la région.
    
    Lorsque la « 407 Peugeot » bleu nuit stoppa à sa hauteur, le jeune homme ne put s’empêcher d’admirer cette voiture aux lignes fluides, dont il savait que jamais il ne pourrait se l’offrir. Mais son attention fut vite détournée par l’apparition d’un visage féminin d’une rare beauté qui par la vitre baissée l’interpella :
    
    — Pardon, ...
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