L'assouvissement du désir
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
fh,
couple,
hotel,
voyage,
voiture,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Salvatore, Source: Revebebe
... d’époux ?
— Pauvre garçon, lui lança soudain Guillaume, la tirant de sa rêverie érotique… Tu lui as offert un spectacle qu’il n’est pas prêt d’oublier.
— Dis plutôt que tu lui as offert le spectacle, répliqua Nicole, amusée. Tu ne m’as pas tellement demandé mon accord pour lui montrer mes cuisses… et tout le reste !
— En effet, mais je n’ai pas eu l’impression que ça t’avait beaucoup gênée. Je me trompe ?
— Humm…
Décidant d’être franche envers son époux, elle avoua :
— C’est vrai, j’ai éprouvé une certaine excitation à être ainsi offerte au regard d’un inconnu… Mais je pense que tu as toi-même éprouvé un certain plaisir à m’offrir ainsi, au premier venu… Je me trompe ?
Et comme pour se rendre compte de la véracité de ses dires, Nicole posa sa main gauche sur la braguette de son époux. La grosseur que sa main découvrit la conforta dans son opinion. Guillaume était victime d’une érection magistrale, érection due bien entendu à la séance de voyeurisme dont il avait été le metteur en scène.
— Eh bien, tu ne vas pas me dire que ça ne t’a pas excité de montrer mon minou à ce garçon, s’exclama Nicole en serrant fortement ses doigts autour de l’énorme protubérance qui déformait le devant du pantalon.
— C’est vrai, s’exclama Guillaume à qui l’aveu de sa femme ouvrait soudainement d’agréables perspectives.
— Je crois bien qu’il s’est rendu compte que je ne portais pas de culotte, continua Nicole d’une voix encore émue par ce souvenir.
— Et ça t’a plu ?
— Eh ...
... bien oui, avoua la jeune femme.
— Alors il faudra que l’on recommence, décréta Guillaume déjà fort excité à l’idée d’offrir ainsi les charmes de son épouse à un inconnu pris au hasard, et des suites érotiques qui pourraient en découler.
À cette évocation, Nicole resserra plus fermement ses doigts autour de la virilité gonflée de son époux.
Roulant doucement sur la route quasiment déserte, Guillaume aperçut enfin sur sa gauche le portail en fer forgé, finement ouvragé, de l’hôtel « Mon Plaisir ». Un mur d’enceinte, partant de deux piliers de pierres taillées, ceinturait l’immense propriété. Une allée rouge et bordée de chaque côté de marronniers plus que centenaires, menait à une somptueuse demeure du dix-septième siècle, transformée en hôtel grand standing. Guillaume gara la 407 devant le perron de l’imposant bâtiment de deux étages aux hautes fenêtres recouvert d’un toit en ardoises bleuies. Deux tours carrées, plus hautes d’un étage, s’élevaient de chaque côté du bâtiment, surmontées d’un toit quatre pans recouvert également d’ardoises bleutées. Un immense parterre de fleurs multicolores entourait le vaste perron.
À peine Guillaume eut-il stoppé la voiture qu’une femme d’une quarantaine d’années s’avança au-devant d’eux pour les accueillir, suivie de deux hommes. Les deux serviteurs, fort dissemblables et pourtant terriblement complémentaires, attirèrent le regard et la curiosité de Nicole. L’un, svelte et élancé, était indubitablement de type espagnol : le teint ...