La petite femelle (5)
Datte: 25/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: De Bréville, Source: Xstory
... mon vagin.
— Houuuu ! C’est bon ! lui-dis-je.
A peine introduit, l’homme pose les deux mains sur mes fesses. Chacun s’adapte très vite au rythme de l’autre. Après quelques va-et-vient très complets, mon amant dégage une main, prend un peu de recul et claque vigoureusement ma fesse droite.
Comme mon buste est très bas, mes tétons frottent sur le tapis, gonflent rapidement et deviennent de plus en plus sensibles.
Tous les trois ou quatre coups de butoir, une claque tombe sur ma fesse droite qui doit commencer à sérieusement rougir. Je suis trempée et ses mouvements de queue s’accompagnent d’un clapotis en partie couvert par les chocs de ses cuisses mâles sur le bas du postérieur de la femelle que je suis.
Plusieurs fois, il recule son bassin, sort entièrement son puissant cigare pour l’introduire de nouveau au cœur de mon abricot juteux. Un temps, il me tient fermement par les hanches et impose son rythme. Puis il dégage ses mains, reste presque immobile et c’est moi qui, plus lentement, viens m’empaler sur sa bite. Il en profite pour mater à son aise ma rondelle qu’il doit imaginer à la fois accueillante et serrée tout comme il faut.
J’ai maintenant les bras tendus. L’homme continue à me pilonner tout en profitant du spectacle offert par mes seins et mon visage, dont l’image lui est renvoyée par le miroir. Au repos, mes deux petits obus sont pointés vers le sol... Lorsque la saillie est plutôt lente, ils restent fermes et parfaitement immobiles ; quand ...
... l’homme accélère la cadence, ils prennent, au même rythme que mon collier en or, un très léger mouvement circulaire qui est des plus excitants.
J’apprécie le traitement dont je suis l’objet. Ma bouche largement ouverte laisse échapper des râles presque continus. Dans le miroir, mes beaux yeux croisent parfois ceux de l’homme qui me mate et me martèle... J’ai envie de plaisirs encore plus forts. Bien en équilibre sur mes genoux, j’envoie mes deux bras en arrière et agrippe mes fesses.
Mon amant y voit un encouragement. Il me saisit au-dessus des coudes qu’il maintient fermement au-dessus de mes reins. Très cambrée, je suis maintenant complètement dépendante de la cadence de la queue qui me pénètre. Très heureuse d’être ainsi saillie par mon bel étalon, je le fais savoir bruyamment et secoue violemment la tête dans tous les sens.
— Oui, vas-y, défonce-moi... Transperce-moi ! Je veux sentir ta queue remonter jusqu’à mes épaules. Plus fort, oui, oui, oui...
Les coups de boutoir se font de plus en plus rapides. Mes reins, vigoureusement pilonnés dans la tempête, subissent une rude épreuve que j’apprécie particulièrement. Je pose un instant les mains sur le côté de mes propres cuisses, puis je parviens à agripper les reins de mon partenaire qui me retient maintenant par les avant-bras... suivre et encourager leur mouvement de va-et-vient est un vrai bonheur.
Quelques instants plus tard, je suis de nouveau à quatre pattes sur le sol. L’homme me tient par le cou et relève ma ...