1. La petite femelle (5)


    Datte: 25/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: De Bréville, Source: Xstory

    “La petite femelle”, c’est un des surnoms que me donne parfois mon mec attitré. Il m’appelle aussi SMLS, ce qui veut dire “Sa majesté la salope”. J’aime bien ce genre de respect. J’ai 28 ans, un cul d’enfer (ça aussi, c’est mon mec qui le dit, mais je sais qu’il a raison). J’aime le sexe, soft ou vraiment très hard. Les sexes, masculins et féminins, m’excitent et me motivent. J’adore aussi dévoiler mes désirs, raconter mes aventures sexuelles. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.
    
    Par exemple celui-ci :
    
    Le printemps est arrivé subitement. Il y a encore trois jours, le ciel était gris et le thermomètre frôlait à peine les 10°, maintenant le soleil est omniprésent et, une fois la fraicheur matinale dissipée, les températures sont presque estivales.
    
    J’arrive à la gare Matabiau. Le train qui vient de Paris est annoncé au quai n°5. Je me dirige d’un pas assuré, attirant sur moi un bon nombre de regards masculins admiratifs. J’adore ça !
    
    Je porte un imperméable cintré de couleur framboise et des escarpins noirs à talons-aiguille. Mes longues jambes fuselées, découvertes jusqu’à mi-cuisses, sont dépourvues de collants. Dans quelques semaines, le soleil les habillera d’une teinte un peu plus cuivrée mais aujourd’hui, elles sont encore d’une blancheur provocante et d’une nudité encore ...
    ... plus indécente.
    
    J’arrive au bout du quai alors que le train s’annonce à l’horizon. Je promène lentement mon regard sur les hommes présents autour de moi. Les yeux qui me fixaient se détournent temporairement puis, dévorés de curiosité, lourds de désir, reviennent discrètement frôler mes mollets. Je prends mon temps, jaugeant tour à tour chacun de mes admirateurs et l’effet que je produis sur eux. J’aime les imaginer la bite gonflée dans le pantalon et le slip mouillé de désir. Le train est maintenant à l’arrêt et je termine mon examen, très contente du résultat...
    
    L’homme que j’attends s’arrête à une bonne dizaine de mètres de moi et prend son téléphone. Lorsque je décroche, nous échangeons des « bonjour » et je pose cette simple question :
    
    — On y va ?
    
    Et lui répond laconiquement :
    
    — Je vous suis !
    
    Eux seuls savent à quel point je suis mince et érotique sous son imperméable. Je ne suis pas vraiment nue, mais je ne porte qu’un corset noir qu’une amie a bien voulu serrer avant mon départ pour la gare. Le corset est durement baleiné, rigide comme au temps des tailles de guêpe. Il comporte des goussets où reposent mes seins. A mesure que l’amie serrait, et elle y mettait beaucoup de bonne volonté, mes nichons remontaient et offraient davantage leur pointe. En même temps, la taille s’étranglait, ce qui faisait cambrer profondément les reins et saillir les fesses. Cette armature me rend très sensible, sans que je sache très bien pourquoi, sans doute par contraste ...
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