Bêtises - Chapitre 5 - Histoires de Sexe

Bêtises - Chapitre 5

... gêne encore inégalé. Je me suis excusée, justifiée, mise à pleurer, pire que tout ce que j'avais pu planifier soigneusement toute la semaine et lui n'a pas dis un mot. Moi qui m’étais promis de ne pas sur réagir : la palme de la quiche m'est décernée haut la main.

Il s'est levé d'un bond, m'a saisi par les bras avant de me plaquer au mur de la cuisine (il est très fort mais ne m'a pourtant pas fait mal) et m'a fait ''les gros yeux''. Son visage est proche du mien et j'ai arrêté de pleurer instantanément comme figée par ce regard, puis s'est mis à m’engueuler, car ce n'est pas bien et tout et tout... Sa grosse voix est pourtant connectée directement à mon string qui s'est remplit de mouille et ça je sais pertinemment que ce n'est pas bien. Je baisse les yeux, et sa grosse main a saisi mon menton pour me forcer à soutenir ses yeux maintenant noirs.

Il respire fort, je soutiens ses yeux avec les miens, moment de tension... et il m'embrasse à pleine bouche, un vrai baisé plein de rage et de passion. En une fraction de seconde mon corps anesthésié c'est réveillé et vibre de nouveau dans cette étreinte, mais il rompt la connexion en soupirant avant de venir poser son pouce sur ma bouche pour que je me taise. Je suis pantelante et mon sexe ne m'a pas titillé comme ça depuis longtemps.

Je ne peux pas parler, mais je décide de prendre le taureau par les cornes et me mets à sucer son doigt si proche de ma bouche, comme une supplique il me grogne de m’arrêter, mais je ne ...

... l’écoute pas et continue de faire tourner ma langue sur son pouce avant de l'aspirer tout du long. Je ne me contrôle plus, je suis en transe et je n'ai qu'une envie : le remercier pour l’oxygène qu'il m'apporte. Je le fixe droit dans les yeux, son pouce toujours entre mes lèvres.

Je vois clairement dans ses yeux sa volonté fléchir et sens son emprise se relâcher. Je me laisser glisser à genoux, il me demande ce que je fais et me répète de m’arrêter, mais sa voix manque de conviction maintenant que je caresse son paquet par dessus son pantalon, il est dur bien avant que je ne le libère de son emballage de tissu.

Je reste bouche bée, quand je découvre un pénis énorme (mon dieu ça pousse avec l'age !?). Qu'à cela ne tienne je n'ai aucune envie de me dégonfler, je le branle à deux mains, étonnée par la taille de l'objet, épais et veineux, que j'ai entre les mains. Je le mets dans ma bouche, ça sent divinement bon l'homme et sa queue est un régal je la savoure, tout en la branlant délicatement. Il se laisse aller sous mes caresses, il grogne et jure mais je sens qu'il aime quand son bassin pousse son gland vers mes lèvres.

Je m'applique en attrapant et en malaxant ses deux grosses billes pour l'attirer plus à moi. Je lui fais du bien je le ressens, ses grognements se font plus intense, je l’emmène sur le fil c'est exactement ce que je souhaite. Son jus envahit ma bouche et je ne peux contenir tout son orgasme mais je l'avale du mieux que je peux. Il semble soulagé et inquiet ...