Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi... (2) - Histoires de Sexe

Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi... (2)

... les cibler elles. Sa méthode avait été maline : elle s’en était fait des copines (Candice savait se faire aimer), puis les avait attiré l’une et l’autre qui dans un plan piscine, l’autre dans un plan gym, à chaque fois pour se retrouver nues à un moment ou presque et trouver là le moyen d’aborder le sujet du corps, du sexe... Elle était tellement désirable et vénéneuse que toutes deux avaient fini par la draguer et la toucher. Pour Matilda, ça n’avait pas été un gros effort : effectivement très salope, elle avait déjà une expérience avec les filles, et couchait avec des garçons depuis ses 14 ans. Avec Shelly, ça a été un peu plus compliqué. Sa réputation de salope était usurpée - au contraire, comme elle ne voulait pas tomber dans les travers parentaux, elle avait développé une sorte de résistance au vice. Candice avait du jouer sur une fibre plus émotionnelle, lui avait raconté ses déboires d’enfance, et Shelly avait fini par tomber un peu amoureuse de ma petite financée. Candice sut alors la manipuler avec une certaine perversité : elle s’arrangea pour que Shelly sache qu’elle avait des rapports sexuels avec Matilda pour la rendre jalouse et l’inciter à essayer de faire de même. Un soir, Shelly finit par lui tomber dans les gras et elles s’étaient gouinées comme des dingues. Il avait ensuite fallu parler : Candice expliqua à Shelly qu’avec Matilda, c’était juste sexuel, qu’avec elle c’était différent, tout ça, mais qu’elle ne renoncerait ni à l’une ni à l’autre. Et au ...

... final, Candice parvint à conserver les deux, et à coucher régulièrement avec elles. Elle me racontait tout ça quand elle rentrait et parvenait même, parfois, à filmer discrètement ses ébats pour que je puisse me branler en regardant.

Pour l’instant, les jeux étaient sages. Pas de pisse ou de merde, pas de jeux pendant le règles... Candice ne voulait pas les effrayer. Je les voyais faire les soeurs ciseaux, se brouter, se fouiller le cul avec les doigts parfois mais rien de crade. C’était, en revanche, très joli. Les trois femelles étaient toutes ravissantes, aussi bien les deux petits gabarits de 18 ans, avec Matilda qui en semblait trois de moins avec sa poitrine inexistante, que la grande Shelly qui avait les proportion d’un mannequin qui aurait fait deux ans de natation. C’était, en effet, une sportive, qui avait rêvé d’une carrière de gymnaste mais qui n’en n’avait hélas pas les proportions délicates. Elle était quand même capable de contorsions qui faisaient rêver, comme un grand écart hallucinant qui donnait un accès panoramique à sa chatte humide. Je rêvais de la poser comme un vase, les pattes écartées à angle droit, pour y enfoncer ma bite, pisser à l’intérieur et y bourrer les crottes mélangées de Candice et de Matilda. Lorsque j’imaginais de telles scènes en m’astiquant, le sperme venait vite.

Il fallut près de trois mois pour que Candice enclenche la seconde sur le sujet. Trois mois pendant lesquels j’avais commencé à préparer le site web et fait un certain ...