1. Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi... (2)


    Datte: 08/04/2019, Catégories: Trash, Auteur: Inavouable69, Source: Xstory

    Dans l’histoire précédente (lisez dans l’ordre !), je vous ai raconté comment, au détour de ce qui devait n’être qu’une séance photo, j’avais fait la connaissance d’une jeune étudiante en école d"infirmière de 18 ans, qui s’était révélée désireuse de toutes les turpitudes sexuelles mais aussi être une jeune fille en manque de père et d’amour. Moi, la cinquantaine bien révolue, l’avait accueillie chez moi pour ne plus la quitter. Nous formions un couple qui faisait à la fois jaser tout mon entourage, mais aussi baver d’envie tous mes amis et aussi quelques amies. Certains proches savaient que l’un de mes hobbys était la photo porno, et comment nous nous étions rencontrés. Ils savaient aussi que Candice souhaitait faire du porno privé avec moi, mais il y a une chose qu’ils ne avaient pas, c’est que Candice s’était révélée gourmande de plaisirs très sales. La pisse, j’en avais parlé à mes meilleurs amis, mais pas le reste. Il n’était pas exclu qu’uro et scato fassent partie des désirs pornos de la petite cochonne, auquel cas il ne serait pas simple de garder le secret bien longtemps. En plus, malgré le fait qu’avec une si merveilleuse créature j’avais une petite tendance à la possessivité, je fantasmais pas mal à l’idée de voir mes meilleurs potes pisser ou chier sur elle devant moi.
    
    Elle continuait ses études sans faiblir - assez bonne élève d’ailleurs - et en profitait pour commencer à sonder ses camarades femelles pour savoir si certaines d’entre elles, le moment venu, ...
    ... pourraient participer au site. Il semblait qu’une ou deux filles étaient portées sur la chose, et Candice me proposa, dans un premier temps, de voir si elles seraient prêtes à venir baiser à la maison avec nous deux. Le projet me séduisait bien. La première amie dont me parla Candice était Matilda, du même âge et de la même promo, ainsi nommé par ses parents à cause du film Léon. C’était, me raconta ma chérie, un tout petit bout de femme (comme elle, d’ailleurs), brunette, très jolie avec presque pas de seins : en fait elle ressemblait beaucoup à l’une des partenaires scato des films russes "Astracelestial", et aussi, curieusement, à la Matilda de Léon. La seconde était différente, une fille assez athlétique de 20 ans qui était en deuxième année, Shelly. Bien française, mais les parents comme beaucoup d’autres avaient cédé à la mode des prénoms façon série américaine. Matilda était la fille d’un restaurateur en vue de la ville, ce qui m’inquiétait un peu; je n’avais pas envie d’avoir d’ennuis avec un père au bras long. Shelly, elle, n’avait plus ses parents; ils avaient tous les deux été mis en prison pour un trafic dont j’ignore la nature, pour un bon bout de temps et la fille avait été confiée à un foyer. Bonne élève, elle avait échappé au sort souvent approximatif réservé à ce genre de parcours en bossant et en se jurant de ne pas finir comme ses parents.
    
    Selon Candice, ces deux filles avaient une réputation de salopes à l’école, et c’était pourquoi elle avait commencé par ...
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