La patronne de ma mère est une cougar (6) - Histoires de Sexe

La patronne de ma mère est une cougar (6)

... me suis remis à étudier et réviser. J’ai gardé ma tenue, car en plus d’être hyper douce, maintenant elle sentait très fort la femme et l’odeur me plaisait énormément. Malgré cela j’ai réussi à travailler, j’étais assez content du fruit de mon travail à la fin de la journée. Ce qui m’a fait arrêter, c’est un premier texto de Muriel, elle m’informait qu’elle venait de se faire un petit plaisir en m’imaginant en train de m’en faire un aussi, alors que je sentais les culottes de ma mère. Si elle savait ce que je venais de faire depuis que je l’avais quittée, je ne sais pas si elle serait fière de moi, ou plutôt jalouse.

— Mon étalon féminin, j’ai envie que tu t’occupes de moi tous les jours.

— J’aimerais tant que tu travailles dans mon bureau pour que tu sois là pour me donner du plaisir à tout instant.

— Il faut que je te l’avoue maintenant quand je pense à ta maman, je me mets à mouiller.

À lire les propos tenus par Muriel, cette dernière était bien chaude, je vais vous avouer que je ne savais pas trop quoi lui répondre.

— Sachez Muriel, que moi aussi je me fais des petits plaisirs en pensant à vous.

— Au rythme où vous allez, je vais finir par prendre goût à porter vos vêtements.

Effectivement, quitte à se confesser, autant que je lui dise toute la vérité. Par contre, mes rapports sexuels avec ma maman, j’entendais bien les garder pour moi. À vrai dire je ne savais plus aujourd’hui, qui m’excitait le plus, entre Muriel et Christiane.

Avec ces deux ...

... femmes dans la tête, j’ai eu du mal à garder l’esprit connecté à notre planète, à vrai dire j’avais la sensation de vivre un rêve. Moi qui voilà peu étais encore un innocent jeune homme, j’étais en train de devenir un expert du sexe. J’étais épuisé, j’ai dîné avec Christiane, tout plein d’idées s’entrechoquaient dans ma tête. Je n’ai pas tardé après le repas, à aller me coucher, à vrai dire je commençais à prendre grand plaisir à recevoir des messages de Muriel. Ces derniers étaient de plus en plus portés sur la chose et cela n’était pas pour me déplaire. Une fois que j’ai réintégré ma chambre, je me suis jeté sur mon téléphone, il n’y avait pas un message, mais plusieurs messages bien chauds pour le jeune homme que j’étais.

— Mon bel étalon féminin, j’ai envie que tu me prennes le plus vite possible.

— Je vais t’apprendre à prendre le goût de mon nectar féminin, tu ne pourras plus t’en passer.

J’ai essayé de répondre à Muriel dans des propos les plus apaisants possible, car j’avais envie de dormir. Maman avait dû m’épuiser. C’est dans la tenue bien féminine, que m’avait donnée ma maman, que je me suis endormi. Je n’ai pas pu me retenir de me faire un petit plaisir dans la tenue de ma mère, avant de me faire enlever par Morphée. À mon réveil, un message de Muriel m’invitait à ce que nous nous retrouvions ce lundi soir.

— Viens ce soir en portant une culotte souillée de ta mère, cela m’excitera encore plus.

Il n’y a pas à dire, Muriel faisait une fixette sur ma mère, ...