La patronne de ma mère est une cougar (6) - Histoires de Sexe

La patronne de ma mère est une cougar (6)

Salut c’est votre folle de lycra.

Je vous ai quittés dans le chapitre précédent, alors que je venais de donner du plaisir à ma mère, je venais de faire l’amour à ma mère, je venais d’avoir un rapport incestueux avec ma génitrice. Alors que j’étais toujours en position sur ma mère, j’étais en train de réaliser ce que je venais de faire. Au fond de moi j’étais en train d’en vouloir à Muriel, car j’avais l’impression que c’était elle qui m’avait poussé dans les bras de ma maman. Voilà encore peu de temps, j’étais un petit puceau innocent, maintenant grâce ou à cause de Muriel, je commençais à ne plus penser qu’au sexe. Avec le recul, je me disais que ma maman, je ne l’avais pas forcée, j’avais l’impression que c’était venu tout naturellement. Je me demandais ce qui était le plus grave, était-ce le fait de m’envoyer en l’air avec ma mère, ou qu’elle me découvre désormais passionné de dessous féminins au point d’en porter. Par-dessus ça, j’étais en plus devenu accro aux odeurs intimes féminines, au point de me délecter des sécrétions déposées sur l’entrejambe de leurs culottes.

Après avoir éjaculé dans ma maman, je suis quand même resté un bon moment pour savourer l’instant. Mon sexe a mis beaucoup de temps à perdre son volume, j’ai essayé de rester le plus longtemps possible dans ce vagin que je connaissais si bien. Je venais de donner du plaisir à ma mère, qui manifestement n’y avait pas goûté depuis très longtemps. Quelque part j’étais très heureux de donner fin à ...

... cette période d’abstinence maternelle. Christiane continuait à me caresser, elle me faisait un effet monstre, je pense que c’était grâce à cela que mon sexe ne perdait pas de volume ou si peu. Je m’égarais un instant à regarder les draps, les oreillers dans lesquels ma mère dormait tous les soirs. Au bout de quelques instants, par peur d’écraser ma mère, j’ai fini par me mettre sur le côté, nous nous sommes ainsi retrouvés tous les deux côte à côte, comme deux amants après l’amour.

Christiane était encore très amoureuse et ses caresses encore très indiscrètes et surtout efficaces. J’aurais voulu fermer les yeux pour savourer ce que j’étais en train de vivre, mais je préférais regarder tout ce qu’il y avait dans cette chambre, de la position où j’étais. Je voyais cette chambre maternelle sous un angle différent, je voyais ce que ma mère voyait le soir avant de s’endormir, avant d’éteindre la lumière. Maintenant je me posais la question, est-ce une opération unique que je venais de vivre, ou alors est-ce que cela allait devenir un petit rituel quotidien ou hebdomadaire. Le subtil parfum de ma mère était en train d’envahir mes narines, tout comme les odeurs de cyprine qui remontaient de sous les draps. Christiane a éteint la lumière et nous nous sommes endormis une petite heure, comme un couple d’amoureux. Tout comme pour moi, je pense que les idées devaient se bousculer dans la tête de ma mère, par rapport à ce que nous venions de faire. Y avait-il de la culpabilité dans ses ...