1. La patronne de ma mère est une cougar (6)


    Datte: 05/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... glisser sous les draps et, chose à laquelle je ne m’attendais pas du tout, elle m’a tendu une de ses culottes bien souillée, qu’elle m’a invité à enfiler.
    
    — Tu vois, moi aussi mon chéri, j’ai des culottes qui sentent bon le minou.
    
    — Apparemment tu aimes bien en porter.
    
    — Garde celle-ci pour dormir, tu penseras à moi et je suis sûre que tu feras des rêves érotiques.
    
    C’est vrai que c’était agréable que d’enfiler une culotte en lycra, toute douce et qui moulait parfaitement mon sexe. Je savais que ma mère portait des tangas, mais elle avait pensé à me donner une grande culotte de telle façon à pouvoir contenir complètement mon sexe à l’intérieur. En complément de la douceur de ce textile, maintenant maman me caressait l’entrejambe avec juste cette fine épaisseur entre ses mains et mon sexe. Voilà comment ce soir-là nous nous sommes endormis, comme deux amants très amoureux et surtout très complices. À vrai dire, je pense qu’au niveau complicité, on ne pouvait pas faire mieux.
    
    À mon réveil, le lendemain, c’est Christiane qui avait pris en main le réveil de mon sexe, en lui faisant une très agréable fellation.
    
    — Alors est-ce qu’elle te fait ça Muriel.
    
    Au fond de moi je me disais que de toute façon je n’avais jamais dormi avec sa patronne. En même temps je n’avais pas trop envie de faire parler maman, car je préférais qu’elle s’occupe de mon sexe, et du coup qu’elle ait la bouche pleine. Pendant qu’elle me suçait avec gourmandise, elle en profitait quand ...
    ... même pour caresser mon entre fesses.
    
    — Tu as un petit cul très sensible, il y a un gros potentiel de ce côté-là.
    
    Que devais-je comprendre par le terme, gros potentiel de ce côté-là...? Je ne savais pas trop mais cette remarque était troublante et quelque part un peu dérangeante. J’ai préféré ne pas relever, et je l’ai laissée s’occuper de mon sexe et de ma raie culière, cela me procurait des sensations monstrueuses.
    
    Ce coup-là elle ne m’a pas laissé l’occasion de partir dans sa bouche, nous sommes partis manger. Elle m’a donné un peignoir à elle, pour que je n’attrape pas froid, et surtout pour dissimuler ma verge en pleine forme. Nous avons pris notre petit-déjeuner, comme si de rien n’était, même si nos regards l’un envers l’autre avaient fortement changé. Au moment où j’allais partir dans ma chambre pour me mettre à travailler, maman m’a pris par la main pour m’emmener dans ta chambre et me donner une longue et douce robe à enfiler en dessous de sa robe de chambre toute douce.
    
    — Tu vois mon chéri, on fait la même taille.
    
    — Tu peux porter tous mes vêtements si tu le désires.
    
    Cela n’avait pas l’air du tout de déranger ma mère, que je prenne goût à porter des vêtements très doux et donc féminins. C’est avec grand plaisir que j’ai accepté son offre, et c’est ainsi que toute la matinée, pendant que je travaillais, je n’arrêtais pas d’avoir des pensées coquines. Dès que je pouvais savourer la douceur de mes vêtements frottant les uns contre les autres ou sur mon ...
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